Le Baletti

Karaoké !!!

C’est le moment de faire valoir tes qualités d’interprète devant ton public.


Attention : Après quelques verres la notion de « qualité »
peut évoluer, pour ceux qui écoutent comme pour ceux qui chantent.


Merci de votre indulgence et buvez quelques verres pour (mieux) apprécier ce moment.


– la direction

Choisi ta chanson !

I’ve been cheated by you since I don’t know when
So I made up my mind, it must come to an end
Look at me now, will I ever learn
I don’t know how, but I suddenly lose control
There’s a fire within my soul
and I can hear a bell ring
(One more look) and I forget everything, whoa
Mamma mia, here I go again
My, my, how can I resist you?
Mamma mia, does it show again
My, my, just how much I’ve missed you?
Yes, I’ve been brokenhearted
Blue since the day we parted
Why, why did I ever let you go?
Mamma mia, now I really know
My, my, I could never let you go
I’ve been angry and sad about things that you do
I can’t count all the times that I’ve told you we’re through
And when you go, when you slam the door
I think you know that you won’t be away too long
You know that I’m not that strong
and I can hear a bell ring
(One more look) and I forget everything, whoa
Mamma mia, here I go again
My, my, how can I resist you?
Mamma mia, does it show again
My, my, just how much I’ve missed you?
Yes, I’ve been brokenhearted
Blue since the day we parted
Why, why did I ever let you go?
Mamma mia, even if I say
Bye-bye, leave me now or never
Mamma mia, it’s a game we play
Bye-bye doesn’t mean forever
Mamma mia, here I go again
My, my, how can I resist you?
Mamma mia, does it show again
My, my, just how much I’ve missed you?
Yes, I’ve been brokenhearted
Blue since the day we parted
Why, why did I ever let you go?
Mamma mia, now I really know
My, my, I could never let you go
Une légère envie de violence quand elle relace ses bas
Je ne suis plus à vendre, Houna je ne suis plus comme ça
Des rumeurs adolescentes disent que je ne suis pas
À toi et je pense qu’une part de vrai se cache
Dis-moi si je dois partir ou pas
Dis-moi (hou-hou)
Dis-moi si tu aimes ça, Houna
Car je suis fou de toi, Houna
Quand tu ne m’appartiens pas
Une violente envie de descente lorsqu’elle t’embrasses ces gars
Je ne ferais point l’enfant, tout cela ne m’atteint pas
Des rumeurs adolescentes disent que je ne suis pas
Un homme à femmes et rien d’autre qu’un homme à toi
Dis-moi si je dois partir ou pas
Dis-moi (hou-hou)
Dis-moi si tu aimes ça, Houna
Car je suis fou de toi, Houna
Quand tu ne m’appartiens pas
Quand tu me mords où ça dérange et tu m’attaches les bras
Quand je fais sautiller sa frange, ses cris se tirent dans les graves
Les voyeurs en redemandent, moi, je ne veux que Houna
Les plus belles des plus belles jambes et de la place pour trois
Dis-moi si je dois partir ou pas
Dis-moi (hou-hou)
Dis-moi si tu aimes ça, Houna
Dis-moi (hou-hou)
Dis-moi, non, je ne craquerais pas
Dis-moi (hou-hou)
Dis-moi si tu aimes ça, Houna
Car je suis fou de toi, Houna
Quand tu n’m’appartiens pas
Mama take this badge from me
I can’t use it anymore
It’s getting dark too dark to see
I feel I’m knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Mama put my guns in the ground
I can’t shoot them anymore
That cold black cloud is comin’ around
And I feel I’m knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Feels like I’m
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Feels like I’m
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Feels like I’m
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Mama tell me
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Feels like I’m
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Feels like I’m
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
Knock-knock-knockin’ on heaven’s door
« Don’t worry about a thing,
‘Cause every little thing gonna be all right.
Singin’: « Don’t worry about a thing,
‘Cause every little thing gonna be all right! »
Rise up this mornin’,
Smiled with the risin’ sun,
Three little birds
Pitch by my doorstep
Singin’ sweet songs
Of melodies pure and true,
Sayin’, (« This is my message to you-ou-ou: »)
Singin’: « Don’t worry ’bout a thing,
‘Cause every little thing gonna be all right. »
Singin’: « Don’t worry (don’t worry) ’bout a thing,
‘Cause every little thing gonna be all right! »
Rise up this mornin’,
Smiled with the risin’ sun,
Three little birds
Pitch by my doorstep
Singin’ sweet songs
Of melodies pure and true,
Sayin’, « This is my message to you-ou-ou: »
Singin’: « Don’t worry about a thing, worry about a thing, oh!
Every little thing gonna be all right. Don’t worry! »
Singin’: « Don’t worry about a thing » – I won’t worry!
« ‘Cause every little thing gonna be all right. »
Singin’: « Don’t worry about a thing,
‘Cause every little thing gonna be all right » – I won’t worry!
Singin’: « Don’t worry about a thing,
‘Cause every little thing gonna be all right. »
Singin’: « Don’t worry about a thing, oh no!
‘Cause every little thing gonna be all right!
J’arrive à me glisser
Juste avant que les portes ne se referment
Elle me dit « quel étage »
Et sa voix me fait quitter la terre ferme
Alors
Les chiffres dansent
Tout se mélange
Je suis en tête-à-tête avec un ange
En apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En apesanteur
Pourvu qu’on soit les seuls
Dans cet ascenseur
Elle arrange ses cheveux
J’ai le cœur juste au bord des yeux
Et sans la regarder
Je sens la chaleur d’un autre langage
Alors
Alors les yeux rivés
Sur les étages
Pourvu que rien n’arrête le voyage
En apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En apesanteur
Pourvu qu’on soit les seuls
Dans cet ascenseur
Dans cet ascenseur
J’arrive à me glisser
Juste avant que les portes ne se referment
Est-ce que vous êtes prêts à nous montrer qui vous êtes
Est-ce que vous êtes prêts à tout lâcher ce soir
On va faire exploser Forest National ce soir
Un, deux, trois, quatre
En apesanteur
Pourvu que les secondes soient des heures
En apesanteur
Pourvu qu’on soit les seuls
Dans cet ascenseur
Pourvu qu’on soit les seuls
Dans cet ascenseur

J´ai compris tous les mots, j´ai bien compris, merci
Raisonnable et nouveau, c´est ainsi par ici
Que les choses ont changé, que les fleurs ont fané
Que le temps d´avant, c´était le temps d´avant
Que si tout zappe et lasse, les amours aussi passent

Il faut que tu saches

J´irai chercher ton cœur si tu l´emportes ailleurs
Même si dans tes danses d´autres dansent tes heures


J´irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m´aimes encore
Pour que tu m’aimes encore

Fallait pas commencer

M´attirer me toucher
Fallait pas tant donner
Moi je sais pas jouer
On me dit qu´aujourd´hui
On me dit que les autres font ainsi
Je ne suis pas les autres
Avant que l´on s´attache
Avant que l´on se gâche

Je veux que tu saches

 

J´irai chercher ton cœur si tu l´emportes ailleurs
Même si dans tes danses d´autres dansent tes heures
J´irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m´aimes encore

Je trouverai des langages pour chanter tes louanges
Je ferai nos bagages pour d´infinies vendanges
Les formules magiques des marabouts d´Afrique
J´les dirai sans remords pour que tu m´aimes encore

Je m´inventerai reine pour que tu me retiennes


Je me ferai nouvelle pour que le feu reprenne
Je deviendrai ces autres qui te donnent du plaisir
Vos jeux seront les nôtres, si tel est ton désir

Plus brillante plus belle pour une autre étincelle
Je me changerai en or pour que tu m´aimes encore.
Pour que tu m’aimes encore
Pour que tu m’aimes encore
Pour que tu m’aimes encore
Pour que tu m’aimes encore

Vers les docks où le poids et l’ennui
Me courbent le dos
Ils arrivent le ventre alourdi
De fruits les bateaux
Ils viennent du bout du monde
Apportant avec eux
Des idées vagabondes
Aux reflets de ciels bleus
De mirages
Traînant un parfum poivré
De pays inconnus
Et d’éternels étés
Où l’on vit presque nus
Sur les plages
Moi qui n’ai connu toute ma vie
Que le ciel du nord
J’aimerais débarbouiller ce gris
En virant de bord
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
Dans les bars à la tombée du jour
Avec les marins
Quand on parle de filles et d’amour
Un verre à la main
Je perds la notion des choses
Et soudain ma pensée
M’enlève et me dépose
Un merveilleux été
Sur la grève
Où je vois tendant les bras
L’amour qui comme un fou
Court au devant de moi
Et je me pends au cou
De mon rêve
Quand les bars ferment, que les marins
Rejoignent leur bord
Moi je rêve encore jusqu’au matin
Debout sur le port
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
Un beau jour sur un rafiot craquant
De la coque au pont
Pour partir je travaillerais dans
La soute à charbon
Prenant la route qui mène
A mes rêves d’enfant
Sur des îles lointaines
Où rien n’est important
Que de vivre
Où les filles alanguies
Vous ravissent le c? ur
En tressant m’a t’on dit
De ces colliers de fleurs
Qui enivrent
Je fuirais laissant là mon passé
Sans aucun remords
Sans bagage et le c? ur libéré
En chantant très fort
Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil…
Voile sur les filles, barques sur le Nil
Je suis dans ta vie, je suis dans tes bras
Alexandra, Alexandrie
Alexandrie, où l’amour danse avec la nuit
J’ai plus d’appétit qu’un barracuda
Je boirai tout le Nil si tu me reviens pas
Je boirai tout le Nil si tu me retiens pas
Alexandrie, Alexandra
Alexandrie, où l’amour danse au fond des bras
Ce soir j’ai de la fièvre et toi, tu meurs de froid
Les sirènes du port d’Alexandrie
Chantent encore la même mélodie
La lumière du phare d’Alexandrie
Fait naufrager les papillons de ma jeunesse
Voile sur les filles et barques sur le Nil
Je suis dans ta vie, je suis dans tes draps
Alexandra, Alexandrie
Alexandrie, où tout commence et tout finit
J’ai plus d’appétit qu’un barracuda
Je te mangerai crue si tu me reviens pas
Je te mangerai crue si tu me retiens pas
Alexandrie, Alexandra
Alexandrie, ce soir je danse dans tes draps
Je te mangerai crue si tu me retiens pas
Les sirènes du port d’Alexandrie
Chantent encore la même mélodie
La lumière du phare d’Alexandrie
Fait naufrager les papillons de ma jeunesse
Rah! Ha! Rah! Ha!
Voile sur les filles, barques sur le Nil
Alexandrie, Alexandra
Ce soir j’ai de la fièvre et toi, tu meurs de froid
Ce soir je danse, je danse, je danse dans tes bras
Allez danse! Oui, danse!
Danse, danse, danse, danse!
Alexandrie, Alexandra
Ce soir je danse, je danse, je dans dans tes bras

Cette année-là
Je chantais pour la premiere fois
Le public ne me connaissait pas
Quelle année cette annee-là
Cette année-là
Le rock’n’roll venait d’ouvrir ses ailes
Et dans mon coin je chantais belle, belle, belle
Et le public aimait ça
Déjà les Beatles étaient quatre garçons dans le vent
Et moi ma chanson disait marche tout droit
Cette année-là
Quelle joie d’être l’idole des jeunes
Pour des fans qui cassaient les fauteuils
Plus j’y pense et moins j’oublie
J’ai découvert mon premier mon dernier amour
Le seul le grand l’unique et pour toujours le public
Cette année-là
Dans le ciel passait une musique
Un oiseau qu’on appelait Spoutnik
Quelle année cette année-là
C’est là qu’on a dit adieu à Marilyn au cœur d’or
Tandis que West Side battait tous les records
Cette année-là
Les guitares tiraient sur les violons
On croyait qu’une révolution arrivait
Cette année-là
C’était hier, mais aujourd’hui rien n’a changé
C’est le même métier qui ce soir recommence encore
C’était l’année soixante deux
C’était l’année soixante deux
C’était l’année soixante deux
C’était l’année soixante deux

I used to rule the world
Seas would rise when I gave the word
Now in the morning I sleep alone
Sweep the streets I used to own
I used to roll the dice
Feel the fear in my enemy’s eyes
Listen as the crowd would sing
« Now the old king is dead! Long live the king! »
One minute I held the key
Next the walls were closed on me
And I discovered that my castles stand
Upon pillars of salt and pillars of sand
I hear Jerusalem bells a ringing
Roman Cavalry choirs are singing
Be my mirror, my sword and shield
My missionaries in a foreign field
For some reason I can’t explain
Once you go there was never
Never an honest word
And that was when I ruled the world
It was the wicked and wild wind
Blew down the doors to let me in
Shattered windows and the sound of drums
People couldn’t believe what I’d become
Revolutionaries wait
For my head on a silver plate
Just a puppet on a lonely string
Oh who would ever want to be king?
I hear Jerusalem bells a ringing
Roman Cavalry choirs are singing
Be my mirror, my sword and shield
My missionaries in a foreign field
For some reason I can’t explain
I know Saint Peter won’t call my name
Never an honest word
But that was when I ruled the world
I hear Jerusalem bells a ringing
Roman Cavalry choirs are singing
Be my mirror, my sword and shield
My missionaries in a foreign field
For some reason I can’t explain
I know Saint Peter won’t call my name
Never an honest word
But that was when I ruled the world
Elle est abonnée à Marie-Claire
Dans l’Nouvel Ob’s elle ne lit que Bretecher
Le Monde y’a longtemps qu’elle fait plus semblant
Elle achète Match en cachette c’est bien plus marrant
Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Etre une femme libérée tu sais c’est pas si facile
Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Etre une femme libérée tu sais c’est pas si facile
Au fond de son lit un macho s’endort
Qui ne l’aimera pas plus loin que l’aurore
Mais elle s’en fout elle s’éclate quand même
Et lui ronronne des tonnes de « Je t’aime »
Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Etre une femme libérée tu sais c’est pas si facile
Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Etre une femme libérée tu sais c’est pas si facile
Sa première ride lui fait du souci
Le reflet du miroir pèse sur sa vie
Elle rentre son ventre à chaque fois qu’elle sort
Même dans « Elle » ils disent qu’il faut faire un effort
Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Etre une femme libérée tu sais c’est pas si facile
Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Etre une femme libérée tu sais c’est pas si facile
Elle fume beaucoup elle a des avis sur tout
Elle aime raconter qu’elle sait changer une roue
Elle avoue son âge celui de ses enfants
Et goûte même un p’tit joint de temps en temps
Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Etre une femme libérée tu sais c’est pas si facile
Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Etre une femme libérée tu sais c’est pas si facile

Dans une taverne du vieux Londres
Où se retrouvaient des étrangers
Nos voix criblées de joie montaient de l’ombre
Et nous écoutions nos cœurs chanter
C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La, la, la…
On était jeunes et l’on croyait au ciel

Et puis sont venus les jours de brume
Avec des bruits étranges et des pleurs
Combien j’ai passé de nuits sans lune


 
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A chercher la taverne dans mon cœur
Tout comme au temps des fleurs
Où l’on vivait sans peur
Où chaque jour avait un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La, la, la ……
On était jeunes et l’on croyait au ciel

Je m’imaginais chassant la brume
Je croyais pouvoir remonter le temps
Et je m’inventais des clairs de lune
Où tous deux nous chantions comme avant
C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avaient un goût de miel
Ton bras prenait mon bras


 
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Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La, la, la ……
On était jeunes et l’on croyait au ciel

Et ce soir je suis devant la porte
De la taverne où tu ne viendras plus
Et la chanson que la nuit m’apporte
Mon cœur déjà ne la connaît plus
C’était le temps des fleurs
On ignorait la peur
Les lendemains avait un goût de miel
Ton bras prenait mon bras
Ta voix suivait ma voix
On était jeunes et l’on croyait au ciel
La la la…
On était jeunes et l’on croyait au ciel

J’me présente, je m’appelle Henri
J’voudrais bien réussir ma vie, être aimé
Être beau, gagner de l’argent
Puis surtout être intelligent
Mais pour tout ça il faudrait que j’bosse à plein temps
J’suis chanteur, je chante pour mes copains
J’veux faire des tubes et que ça tourne bien, tourne bien
J’veux écrire une chanson dans le vent
Un air gai, chic et entraînant
Pour faire danser dans les soirées de Monsieur Durand
Et partout dans la rue
J’veux qu’on parle de moi
Que les filles soient nues
Qu’elles se jettent sur moi
Qu’elles m’admirent, qu’elles me tuent
Qu’elles s’arrachent ma vertu
Pour les anciennes de l’école
Devenir une idole
J’veux que toutes les nuits
Essoufflées dans leurs lits
Elles trompent leurs maris
Dans leurs rêves maudits
Puis après je ferai des galas
Mon public se prosternera devant moi
Des concerts de cent mille personnes
Où même le tout-Paris s’étonne
Et se lève pour prolonger le combat
Et partout dans la rue
J’veux qu’on parle de moi
Que les filles soient nues
Qu’elles se jettent sur moi
Qu’elles m’admirent, qu’elles me tuent
Qu’elles s’arrachent ma vertu
Puis quand j’en aurai assez
De rester leur idole
Je remonterai sur scène
Comme dans les années folles
Je ferai pleurer mes yeux
Je ferai mes adieux
Et puis l’année d’après
Je recommencerai
Et puis l’année d’après
Je recommencerai
Je me prostituerai
Pour la postérité
Les nouvelles de l’école
Diront que j’suis pédé
Que mes yeux puent l’alcool
Que j’fais bien d’arrêter
Brûleront mon auréole
Saliront mon passé
Alors je serai vieux
Et je pourrai crever
Je me chercherai un Dieu
Pour tout me pardonner
J’veux mourir malheureux
Pour ne rien regretter
J’veux mourir malheureux
Encore un effort
Quelques mois suffiront
Je suis presque mort
Quelques mois et c’est bon
Supprimer les traces la moindre trace
Ce qui reste de candeur
Un morceau de glace
À la place du cœur
Et même si je m’améliore
Oh j’en rêve encore
Même cassé, ivre mort
Oh j’en rêve encore
Encore, encore, encore
Ne plus rien sentir
Inconscient, minérale
Plus le moindre désir
Plus de peur ni de mal
Oh, et même si je m’améliore
Oh, j’en rêve encore
Même en sachant que j’ai tort
Oh, j’en rêve encore
Encore, encore, encore
Ooh, ooh
Vivant mais mort
N’être plus qu’un corps
Que tout me soit égal
Plus de mal
Oh oh, même si je m’améliore
Oh, j’en rêve encore, encore
Ton absence qui me mord
Oh, j’en rêve encore, encore, encore
Ton départ et mes remords
Oh, j’en rêve encore
Son corps à lui dans ton corps
Oh, j’en crève encore
Encore, longtemps, encore
Oh, j’en rêve encore
Oh, j’en rêve encore
Longtemps, encore
Oh, j’en rêve encore
Longtemps, encore, encore
Entre toute autre chose
J’aurais dû m’arrêter faire une pause
Mais j’étais trop pressé
N’aurait-on pas pu attendre un été
Erreur fatale
J’aurais dû t’écouter
Je ne dissociais plus le bien du mal
Car j’étais sur la route
Toute la sainte journée
Je n’ai pas vu le doute en toi s’immiscer
J’étais sur la route
Toute la sainte journée
Si seulement j’avais pu lire
Dans tes pensées
J’avais perdu l’habitude
Le sentiment profond de solitude
Je ne m’apercevais pas
Que tu étais derrière chacun de mes pas
Erreur fatale
Vient le temps des regrets
Je me noie dans un verre de larmes
J’étais sur la route
Toute la sainte journée
Je n’ai pas vu le doute en toi s’immiscer
J’étais sur la route
Toute la sainte journée
Si seulement j’avais pu lire
Dans tes pensées
J’ai fait mon malheur
Car j’étais sur la route
Toute la sainte journée
Je n’ai pas vu le doute en toi s’immiscer
J’étais sur la route
Toute la sainte journée
Si seulement j’avais pu lire
Dans tes pensées
Sur la route
Toute la sainte journée
Je n’ai pas vu le doute en toi s’immicer
Car j’étais sur la route
Toute la sainte journée
Si seulement j’avais pu lire
Dans tes pensées, oh oh baby
J’aurais vu le doute
En toi
S’immicer
Elle était maquillée
Comme une star de ciné
Accoudée au juke-box
Elle rêvait qu’elle posait
Juste pour un bout d’essai
À la Century Fox
Elle semblait bien dans sa peau
Ses yeux couleur menthe à l’eau
Cherchaient du regard un spot
Le dieu projecteur
Et moi je n’en pouvais plus
Bien sûr elle ne m’a pas vu
Perdue dans sa mégalo
Moi j’étais de trop
Elle marchait comme un chat
Qui méprise sa proie
Où frôlant le flipper
La chanson qui couvrait
Tous les mots qu’elle mimait
Semblait briser son coeur
Elle en faisait un peu trop
La fille aux yeux menthe à l’eau
Hollywood est dans sa tête
Tout’ seule elle répète
Son entrée dans un studio
Le décor couleur menthe à l’eau
Perdue dans sa mégalo
Moi je suis de trop
Mais un type est entré
Et le charme est tombé
Arrêtant le flipper
Ses yeux noirs ont lancé
De l’agressivité
Sur le pauvre juke-box
La fille aux yeux menthe à l’eau
A rangé sa mégalo
Et s’est soumise aux yeux noirs
Couleurs de trottoir
Et moi je n’en pouvais plus
Elle n’en a jamais rien su
Ma plus jolie des mythos
Couleur menthe à l’eau
J’écoutais le disc-jockey
Dans la voiture qui me traînait
Sur la route de Memphis
Sur la route de Memphis
Et la radio me vantait
Un truc débile qui m’endormait
Sur la route de Memphis
Sur la route de Memphis
Je viens vers elle
Elle m’attend dans sa robe blanche
L’amour en province ressemble un peu à un dimanche
Sur le siège avant, le chauffeur
Buvait de la bière en regardant l’heure
Sur la route de Memphis
Sur la route de Memphis
À la place du mort, un chien-loup
Me jetait un regard un peu fou
Sur la route de Memphis
Sur la route de Memphis
Je viens vers elle
Mais pas dans une Rolls blanche
Dans un costume un peu élimé aux manches
J’ai le droit de me taire et fumer
En gardant mes menottes aux poignets
Sur la route de Memphis
Sur la route de Memphis
Pour une fois les flics ont gagné
Vers chez toi je ne fais que passer
Sur la route de Memphis
Sur la route de Memphis
Sur la route de Memphis
Sur la route de Memphis
Sur la route de Memphis
Sur la route de Memphis
La lumièr’ revient déjà
Et le film est terminé
Je réveille mon voisin
Il dort comme un nouveau-né
Je relèv’ mon strapontin
J’ai une envie de bailler
C’était la dernièr’ séquence
C’était la dernièr’ séance
Et le rideau sur l’écran est tombé
La photo sur le mot fin
Peut fair’ sourire ou pleurer
Mais je connais le destin
D’un cinéma de quartier
Il finira en garage
En building supermarché
Il n’a plus aucune chance
C’était sa dernièr’ séance
Et le rideau sur l’écran est tombé
Bye bye les héros que j’aimais
L’entracte est terminé
Bye bye rendez-vous à jamais
Mes chocolats glacés, glacés
J’allais rue des Solitaires
À l’école de mon quartier
À 5 heures j’étais sorti
Mon père venait me chercher
On voyait Gary Cooper
Qui défendait l’opprimé
C’était vraiment bien l’enfance
Mais c’est la dernière séquence
Et le rideau sur l’écran est tombé
Bye bye les filles qui tremblaient
Pour les jeunes premiers
Bye bye rendez-vous à jamais
Mes chocolats glacés, glacés
La lumière s’éteint déjà
La salle est vide à pleurer
Mon voisin détend ses bras
Il s’en va boire un café
Un vieux pleure dans un coin
Son cinéma est fermé
C’était la dernièr’ séquence
C’était sa dernièr’ séance
Et le rideau sur l’écran est tombé
Robert’s got a quick hand
He’ll look around the room he won’t tell you his plan
He’s got a rolled cigarette
Hanging out his mouth, he’s a cowboy kid
Yeah, he found a six shooter gun
In his dad’s closet, in a box of fun things
And I don’t even know what
But he’s coming for you, yeah, he’s coming for you
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run, outrun my gun
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run faster than my bullet
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run, outrun my gun
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run faster than my bullet
Daddy works a long day
He’s coming home late, yeah, he’s coming home late
And he’s bringing me a surprise
Cause dinner’s in the kitchen and it’s packed in ice
I’ve waited for a long time
Yeah, the slight of my hand is now a quick pull trigger
I reason with my cigarette
Then say your hair’s on fire
You must have lost your wits, yeah
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run, outrun my gun
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run faster than my bullet
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run, outrun my gun
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run faster than my bullet
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run, outrun my gun
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run faster than my bullet
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run, outrun my gun
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run faster than my bullet
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run, outrun my gun
All the other kids with the pumped up kicks
You better run, better run faster than my bullet
Ne dites pas que ce garçon était fou
Il ne vivait pas comme les autres, c’est tout
Et pour quelles raisons étranges
Les gens qui n’sont pas comme nous, ça nous dérange
Ne dites pas que ce garçon n’valait rien
Il avait choisi un autre chemin
Et pour quelles raisons étranges
Les gens qui pensent autrement, ça nous dérange
Ça nous dérange
Il jouait du piano debout
C’est peut-être un détail pour vous
Mais pour moi, ça veut dire beaucoup
Ça veut dire qu’il était libre
Heureux d’être là malgré tout
Jouait du piano debout
Quand les trouillards sont à genoux
Et les soldats au garde à vous
Simplement sur ses deux pieds
Il voulait être lui, vous comprenez
Il n’y a que pour sa musique, qu’il était patriote
Il s’rait mort au champ d’honneur pour quelques notes
Et pour quelles raisons étranges
Les gens qui tiennent à leurs rêves, ça nous dérange
Lui et son piano, ils pleuraient quelques fois
Mais c’est quand les autres n’étaient pas là
Et pour quelles raisons bizarres
Son image a marqué ma mémoire
Ma mémoire
Il jouait du piano debout
C’est peut-être un détail pour vous
Mais pour moi, ça veut dire beaucoup
Ça veut dire qu’il était libre
Heureux d’être là malgré tout
Jouait du piano debout
Il chantait sur des rythmes fous
Et pour moi ça veut dire beaucoup
Ça veut dire « essaie de vivre
Essaie d’être heureux, ça vaut le coup »
Il jouait du piano debout
C’est peut-être un détail pour vous
Mais pour moi, ça veut dire beaucoup
Ça veut dire qu’il était libre
Heureux d’être là malgré tout
Il jouait du piano debout
Quand les trouillards sont à genoux
Et les soldats au garde à vous
Simplement sur ses deux pieds
Il voulait être lui, vous comprenez
Jouait du piano debout
Laisse tomber les filles
Laisse tomber les filles
Un jour c’est toi qu’on laissera
Laisse tomber les filles
Laisse tomber les filles
Un jour c’est toi qui pleureras
Oui, j’ai pleuré mais ce jour-là
Non je ne pleurerai pas
Non je ne pleurerai pas
Je dirai c’est bien fait pour toi
Je dirai ça t’apprendra
Je dirai ça t’apprendra
Laisse tomber les filles
Laisse tomber les filles
Ça te jouera un mauvais tour
Laisse tomber les filles
Laisse tomber les filles
Tu le paieras un de ces jours
On ne joue pas impunément
Avec un cœur innocent
Avec un cœur innocent
Tu verras ce que je ressens
Avant qu’il ne soit longtemps
Avant qu’il ne soit longtemps
La chance abandonne
Celui qui ne sait
Que laisser les cœurs blessés
Tu n’auras personne
Pour te consoler
Tu ne l’auras pas volé
Laisse tomber les filles
Laisse tomber les filles
Un jour c’est toi qu’on laissera
Laisse tomber les filles
Laisse tomber les filles
Un jour c’est toi qui pleureras
Non pour te plaindre il n’y aura
Personne d’autre que toi
Personne d’autre que toi
Alors tu te rappelleras
Tout ce que je te dis là
Tout ce que je te dis là
Alors tu te rappelleras
Tout ce que je te dis là
Tout ce que je te dis là
Alors tu te rappelleras
Tout ce que je te dis là
Tout ce que je te dis là
Alors tu te rappelleras
Tout ce que je te dis là
Si on t’organise une vie bien dirigée
Où tu t’oublieras vite
Si on te fait danser sur une musique sans âme
Comme un amour qu’on quitte
Si tu réalises que la vie n’est pas là
Que le matin tu te lèves
Sans savoir où tu vas
Résiste
Prouve que tu existes
Cherche ton bonheur partout, va
Refuse ce monde égoïste
Résiste
Suis ton cœur qui insiste
Ce monde n’est pas le tien, viens
Bats-toi, signe et persiste
Résiste
Tant de libertés pour si peu de bonheur
Est-ce que ça vaut la peine
Si on veut t’amener à renier tes erreurs
C’est pas pour ça qu’on t’aime
Si tu réalises que l’amour n’est pas là
Que le soir tu te couches
Sans aucun rêve en toi
Résiste
Prouve que tu existes
Cherche ton bonheur partout, va
Refuse ce monde égoïste
Résiste
Suis ton cœur qui insiste
Ce monde n’est pas le tien, viens
Bats-toi, signe et persiste
Résiste
Danse pour le début du monde
Danse pour tous ceux qui ont peur
Danse pour les milliers de cœurs
Qui ont droit au bonheur
Résiste
Résiste
Résiste
Résiste
Prouve que tu existes
Cherche ton bonheur partout, va
Refuse ce monde égoïste
Résiste
Suis ton cœur qui insiste
Ce monde n’est pas le tien, viens
Bats-toi, signe et persiste
Résiste
Résiste
Résiste
Elle te fera changer la course des nuages
Balayer tes projets, vieillir bien avant l’âge
Tu la perdras cent fois dans les vapeurs des ports
C’est écrit
Elle rentrera blessée dans les parfums d’un autre
Tu t’entendras hurler « que les diables l’emportent »
Elle voudra que tu pardonnes, et tu pardonneras
C’est écrit
Elle n’en sort plus de ta mémoire
Ni la nuit, ni le jour
Elle danse derrière les brouillards
Et toi, tu cherches et tu cours
Tu prieras jusqu’aux heures où personne n’écoute
Tu videras tous les bars qu’elle mettra sur ta route
T’en passeras des nuits à regarder dehors
C’est écrit
Elle n’en sort plus de ta mémoire
Ni la nuit, ni le jour
Elle danse derrière les brouillards
Et toi, tu cherches et tu cours
Mais y a pas d’amour sans histoires
Et tu rêves, tu rêves
Qu’est-ce qu’elle aime, qu’est-ce qu’elle veut?
Et ses ombres qu’elle te dessine autour des yeux?
Qu’est-ce qu’elle aime?
Qu’est-ce qu’elle rêve, qui elle voit?
Et ces cordes qu’elle t’enroule autour des bras?
Qu’est-ce qu’elle aime?
Je t’écouterai me dire ses soupirs, ses dentelles
Qu’à bien y réfléchir, elle n’est plus vraiment belle
Que t’es déjà passé par des moments plus forts
Depuis
Elle n’en sort plus de ta mémoire
Ni la nuit, ni le jour
Elle danse derrière les brouillards
Et toi, tu cherches et tu cours
Mais y a pas d’amour sans histoires
Oh tu rêves, tu rêves
Elle n’en sort plus de ta mémoire
Elle danse derrière les brouillards
Et moi j’ai vécu la même histoire
Depuis je compte les jours
Depuis je compte les jours
Depuis je compte les jours
D’abord vos corps qui se séparent
T’es seule dans la lumière des phares
Et t’entends à chaque fois que tu respires
Comme un bout de tissu qui se déchire
Et ça continue (encore et encore!)
C’est que le début (d’accord, d’accord!) voilà
L’instant d’après le vent se déchaîne
Les heures s’allongent comme des semaines
Et tu te retrouves seule assise par terre
À bondir à chaque bruit de portière, mais
Ça continue (encore et encore!)
C’est que le début (d’accord, d’accord!)
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
La même nuit que la nuit d’avant
Les mêmes endroits deux fois trop grands
T’avances comme dans des couloirs
Tu t’arranges pour éviter les miroirs
Mais ça continue encore et encore
C’est que le début d’accord, d’accord
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant, personne
Faudrait que t’arrives à en parler au passé
Faudrait que t’arrives à ne plus penser à ça
Faudrait que tu l’oublies à longueur de journée
Dis-toi qu’il est de l’autre côté du pôle
Dis-toi surtout qu’il ne reviendra pas
Et ça te fait marrer les oiseaux qui s’envolent
Les oiseaux qui s’envolent
Les oiseaux qui s’envolent
Tu comptes les chances qu’il te reste
Un peu de son parfum sur ta veste
Tu avais dû confondre les lumières
D’une étoile et d’un réverbère
Ça continue (encore et encore!)
C’est que le début (d’accord, d’accord!)
Mais, ça continue (encore et encore!)
C’est que le début (d’accord, d’accord!)
D’accord, d’accord, d’accord, d’accord
Y a des couples qui se défont
Sur les lames de ton plafond
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
Personne
Quelque chose vient de tomber
Sur les lames de ton plancher
C’est toujours le même film qui passe
T’es toute seule au fond de l’espace
T’as personne devant
Personne, personne, personne, personne, personne, personne
Personne!
Personne!

Depuis le temps que je patiente
Dans cette chambre noire
J’entends qu’on s’amuse et qu’on chante
Au bout du couloir ;
Quelqu’un a touché le verrou
Et j’ai plongé vers le grand jour
J’ai vu les fanfares, les barrières
Et les gens autour

Dans les premiers moments j’ai cru
Qu’il fallait seulement se défendre
Mais cette place est sans issue
Je commence à comprendre
Ils ont refermé derrière moi
Ils ont eu peur que je recule
Je vais bien finir par l’avoir


Cette danseuse ridicule…

Est-ce que ce monde est sérieux ?
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Andalousie je me souviens
Les prairies bordées de cactus
Je ne vais pas trembler devant
Ce pantin, ce minus !
Je vais l’attraper, lui et son chapeau
Les faire tourner comme un soleil

Ce soir la femme du torero
Dormira sur ses deux oreilles
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Est-ce que ce monde est sérieux ?
J’en ai poursuivi des fantômes
Presque touché leurs ballerines
Ils ont frappé fort dans mon cou


Pour que je m’incline

Ils sortent d’où ces acrobates
Avec leurs costumes de papier ?
J’ai jamais appris à me battre
Contre des poupées
Sentir le sable sous ma tête
C’est fou comme ça peut faire du bien
J’ai prié pour que tout s’arrête
Andalousie je me souviens

Je les entends rire comme je râle
Je les vois danser comme je succombe
Je pensais pas qu’on puisse autant
S’amuser autour d’une tombe
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Si, si hombre, hombre


 
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Baila, baila

Hay que bailar de nuevo
Y mataremos otros
Otras vidas, otros toros
Y mataremos otros
Venga, venga a bailar…
Y mataremos otros

Le vent fera craquer les branches
La brume viendra dans sa robe blanche
Y’aura des feuilles partout
Couchées sur les cailloux
Octobre tiendra sa revanche
Le soleil sortira à peine
Nos corps se cacheront sous des bouts de laine
Perdue dans tes foulards
Tu croiseras le soir
Octobre endormi aux fontaines
Il y aura certainement
Sur les tables en fer blanc
Quelques vases vides et qui traînent
Et des nuages pris aux antennes
Je t’offrirai des fleurs
Et des nappes en couleurs
Pour ne pas qu’octobre nous prenne
On ira tout en haut des collines
Regarder tout ce qu’octobre illumine
Mes mains sur tes cheveux
Des écharpes pour deux
Devant le monde qui s’incline
Certainement appuyés sur des bancs
Il y aura quelques hommes qui se souviennent
Et des nuages pris sur les antennes
Je t’offrirai des fleurs
Et des nappes en couleurs
Pour ne pas qu’octobre nous prenne
Et sans doute on verra apparaître
Quelques dessins sur la buée des fenêtres
Vous, vous jouerez dehors
Comme les enfants du nord
Octobre restera peut-être
Vous, vous jouerez dehors
Comme les enfants du nord
Octobre restera peut-être
Fly me to the moon
Let me play among the stars
Let me see what spring is like on
A-Jupiter and Mars
In other words, hold my hand
In other words, baby, kiss me
Fill my heart with song and let me sing forevermore
You are all I long for
All I worship and adore
In other words, please be true
In other words, I love you
Fill my heart with song
Let me sing forevermore
You are all I long for, all I worship and adore
In other words, please be true
In other words
In other words
I love you
Non, ce n’était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu’on se le dise au fond des ports
Dise au fond des ports
Il naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s’appelait les Copains d’abord
Les Copains d’abord
Ses fluctuat nec mergitur
C’était pas d’la littérature
N’en déplaise aux jeteurs de sort
Aux jeteurs de sort
Son capitaine et ses matelots
N’étaient pas des enfants d’salauds
Mais des amis franco de port
Des copains d’abord
C’étaient pas des amis de luxe
Des petits Castor et Pollux
Des gens de Sodome et Gomorrhe
Sodome et Gomorrhe
C’étaient pas des amis choisis
Par Montaigne et La Boetie
Sur le ventre ils se tapaient fort
Les copains d’abord
C’étaient pas des anges non plus
L’Évangile, ils l’avaient pas lu
Mais ils s’aimaient toutes voiles dehors
Toutes voiles dehors
Jean, Pierre, Paul et compagnie
C’était leur seule litanie
Leur Credo, leur Confiteor
Aux copains d’abord
Au moindre coup de Trafalgar
C’est l’amitié qui prenait l’quart
C’est elle qui leur montrait le nord
Leur montrait le nord
Et quand ils étaient en détresse
Qu’leurs bras lancaient des S.O.S.
On aurait dit les sémaphores
Les copains d’abord
Au rendez-vous des bons copains
Y avait pas souvent de lapins
Quand l’un d’entre eux manquait a bord
C’est qu’il était mort
Oui, mais jamais, au grand jamais
Son trou dans l’eau n’se refermait
Cent ans après, coquin de sort
Il manquait encore
Des bateaux j’en ai pris beaucoup
Mais le seul qu’ait tenu le coup
Qui n’ai jamais viré de bord
Mais viré de bord
Naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s’app’lait les Copains d’abord
Les Copains d’abord
Des bateaux j’en ai pris beaucoup
Mais le seul qu’ait tenu le coup
Qui n’ai jamais viré de bord
Mais viré de bord
Naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s’appelait les Copains d’abord
Les Copains d’abord
Non, ce n’était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu’on se le dise au fond des ports
Dise au fond des ports
Il naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s’appelait les Copains d’abord
Les Copains d’abord
Ses fluctuat nec mergitur
C’était pas d’la littérature
N’en déplaise aux jeteurs de sort
Aux jeteurs de sort
Son capitaine et ses matelots
N’étaient pas des enfants d’salauds
Mais des amis franco de port
Des copains d’abord
C’étaient pas des amis de luxe
Des petits Castor et Pollux
Des gens de Sodome et Gomorrhe
Sodome et Gomorrhe
C’étaient pas des amis choisis
Par Montaigne et La Boetie
Sur le ventre ils se tapaient fort
Les copains d’abord
C’étaient pas des anges non plus
L’Évangile, ils l’avaient pas lu
Mais ils s’aimaient toutes voiles dehors
Toutes voiles dehors
Jean, Pierre, Paul et compagnie
C’était leur seule litanie
Leur Credo, leur Confiteor
Aux copains d’abord
Au moindre coup de Trafalgar
C’est l’amitié qui prenait l’quart
C’est elle qui leur montrait le nord
Leur montrait le nord
Et quand ils étaient en détresse
Qu’leurs bras lancaient des S.O.S.
On aurait dit les sémaphores
Les copains d’abord
Au rendez-vous des bons copains
Y avait pas souvent de lapins
Quand l’un d’entre eux manquait a bord
C’est qu’il était mort
Oui, mais jamais, au grand jamais
Son trou dans l’eau n’se refermait
Cent ans après, coquin de sort
Il manquait encore
Des bateaux j’en ai pris beaucoup
Mais le seul qu’ait tenu le coup
Qui n’ai jamais viré de bord
Mais viré de bord
Naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s’app’lait les Copains d’abord
Les Copains d’abord
Des bateaux j’en ai pris beaucoup
Mais le seul qu’ait tenu le coup
Qui n’ai jamais viré de bord
Mais viré de bord
Naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s’appelait les Copains d’abord
Les Copains d’abord
Je l’ai trouvée au petit matin
Toute nue dans mes grands souliers
Placés devant la cheminée
Pas besoin de vous faire un dessin
De battre mon cœur s’est arrêté
Sur le lit j’ai jeté mon fouet
Tout contre elle je me suis penché
Et sa beauté m’a rendu muet
Fatigué j’ai la gueule de bois
Toute la nuit j’avais aidé mon père
Dans le feu j’ai remis du bois
Dans la ch’minée y avait pas son père
C’était la fille du Père Noël
J’étais le fils du Père Fouettard
Elle s’appelait Marie Noël
Je m’appelais Jean Balthazar
Je prends la fille dans mes bras
Elle me dit mais non Balthazar
Ne fais donc pas le fier à bras
Je suis tombée là par hasard
Toute la nuit j’avais fouetté
A tour de bras les gens méchants
Toute la nuit elle avait donné
Des cadeaux à tous les enfants
C’était la fille du Père Noël
J’étais le fils du Père Fouettard
Elle s’appelait Marie Noël
Je m’appelais Jean Balthazar
Descendue chez moi par erreur
Elle était là dans mes souliers
Et comme je ne pouvais prendre son cœur
Je l’ai remise sur le palier
C’était la fille du Père Noël
J’étais le fils du Père Fouettard
Et elle m’a dit d’une voix d’crécelle
Bye bye au hasard Balthazar
C’était la fille du Père Noël
J’étais le fils du Père Fouettard
Elle s’appelait Marie Noël
Je m’appelais Jean Balthazar
Well, you done done me in, you bet I felt it
I tried to be chill, but you’re so hot that I melted
I fell right through the cracks
Now I’m trying to get back
Before the cool done run out
I’ll be giving it my bestest
And nothing’s gonna stop me but divine intervention
I reckon it’s again my turn
To win some or learn some
But I won’t hesitate no more, no more
It cannot wait, I’m yours
Hmm (hey, hey)
Well, open up your mind and see like me
Open up your plans and, damn, you’re free
And look into your heart and you’ll find love, love, love, love
Listen to the music of the moment, people dance and sing
We’re just one big family
And it’s our God-forsaken right to be loved, loved, loved, loved, loved
So I won’t hesitate no more, no more
It cannot wait, I’m sure
There’s no need to complicate
Our time is short
This is our fate, I’m yours
Do, do, do, do you, but do you, do you, do, do, but do you want to come on?
Scooch on over closer, dear
And I will nibble your ear
A-soo-da-ba-ba-ba-ba-bum
Whoa-oh-oh
Whoa-oh-oh-oh-oh-whoa-whoa-whoa
Uh-huh, mmm-hmm
I’ve been spending way too long checking my tongue in the mirror
And bending over backwards just to try to see it clearer
But my breath fogged up the glass
And so I drew a new face and I laughed
I guess what I’ve been saying is there ain’t no better reason
To rid yourself of vanities and just go with the seasons
It’s what we aim to do
Our name is our virtue
But I won’t hesitate no more, no more
It cannot wait, I’m yours
Well, open up your mind and see like me
Open up your plans and, damn, you’re free
And look into your heart, and you’ll find that the sky is yours
So please don’t, please don’t, please don’t
There’s no need to complicate
‘Cause our time is short
This, oh this, this is our fate, I’m yours
Oh, I’m yours
Oh, I’m yours
Oh, whoa, baby, do you believe I’m yours?
You best believe, you best believe I’m yours, mmm-hmm
Okay, Coconut man, Moonheads and Pea
You ready?
Seems like everybody’s got a price
I wonder how they sleep at night
When the sale comes first and the truth comes second
Just stop for a minute and smile
Why is everybody so serious?
Acting so damn mysterious
Got shades on your eyes
And your heels so high that you can’t even have a good time
Everybody look to their left
Everybody look to their right
Can you feel that, yeah
We’re paying with love tonight
It’s not about the money, money, money
We don’t need your money, money, money
We just wanna make the world dance
Forget about the price tag
Ain’t about the, uh, cha-ching cha-ching
Ain’t about the, yeah, b-bling b-bling
Wanna make the world dance
Forget about the price tag
We need to take it back in time
When music made us all unite
And it wasn’t low blows and video hoes
Am I the only the one getting tired?
Why is everybody so obsessed?
Money can’t buy us happiness
Can we all slow down and enjoy right now?
Guarantee we’ll be feeling alright
Everybody look to their left
Everybody look to their right
Can you feel, yeah
We’re paying with love tonight
It’s not about the money, money, money
We don’t need your money, money, money
We just wanna make the world dance
Forget about the price tag
Ain’t about the, uh, cha-ching cha-ching
Ain’t about the, yeah, b-bling b-bling
Wanna make the world dance
Forget about the price tag
La, la la la la la, ey
La, la la la la la, ey
La, la la la la la, ey
Price tag
La, la la la la la, ey
La, la la la la la, ey
La, la la la la la, ey
Price tag
It’s not about the money, money, money
We don’t need your money, money, money
We just wanna make the world dance
Forget about the price tag
Ain’t about the, uh, cha-ching, cha-ching
Ain’t about the, yeah, ba-bling, ba-bling
Wanna make the world dance
Forget about the price tag
Ahh, ahh, ahh, ahh, yeah yeah
Ooh, ooh, ooh
Forget about the price tag
Ahh, ahh
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a fait un bébé toute seule
C’était dans ces années un peu folles
Où les papas n’étaient plus à la mode
Ouh, elle a fait un bébé toute seule
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a fait un bébé toute seule
Elle a choisi le père en scientifique
Pour ses gènes, son signe astrologique
Ouh, elle a fait un bébé toute seule
Et elle court toute la journée
Elle court de décembre en été
De la nourrice à la baby-sitter
Des paquets de couches au biberon de quatre heures
Et elle fume, fume, fume même au petit déjeuner
Elle défait son grand lit toute seule
Elle défait son grand lit toute seule
Elle vit comme dans tous ces magazines
Où le fric et les hommes sont faciles
Ouh, elle défait son grand lit toute seule
Et elle court toute la journée
Elle court de décembre en été
Le garage, la gym et le blues alone
Et les copines qui pleurent des heures au téléphone
Elle assume, sume, sume sa nouvelle féminité
Et elle court toute la journée
Elle court de décembre en été
De la nourrice à la baby-sitter
Des paquets de couches au biberon de quatre heures
Et elle fume, fume, fume même au petit déjeuner
Elle m’téléphone quand elle est mal
Quand elle peut pas dormir
J’l’emmène au cinéma, j’lui fait des câlins
J’la fais rire
Un peu comme un grand frère, un peu incestueux quand elle veut
Puis son gamin, c’est presque le mien
Sauf qu’il a les yeux bleus
Elle a fait un bébé toute seule
Minuit se lève en haut des tours
Les voix se taisent et tout devient aveugle et sourd
La nuit camoufle pour quelques heures
La zone sale et les épaves et la laideur
J’ai pas choisi de naître ici
Entre l’ignorance et la violence et l’ennui
J’m’en sortirai, j’me le promets
Et s’il le faut, j’emploierai des moyens légaux
Envole-moi, envole-moi, envole-moi
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi, envole-moi
Remplis ma tête d’autres horizons, d’autres mots
Envole-moi
Pas de question ni rébellion
Règles du jeu fixées mais les dés sont pipés
L’hiver est glace, l’été est feu
Ici, y’a jamais de saison pour être mieux
J’ai pas choisi de vivre ici
Entre la soumission, la peur ou l’abandon
J’m’en sortirai, je te le jure
À coup de livres, je franchirai tous ces murs
Envole-moi, envole-moi, envole-moi
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi, envole-moi
Remplis ma tête d’autres horizons, d’autres mots
Envole-moi
Envole-moi, envole-moi, envole-moi
Loin de cette fatalité qui colle à ma peau
Envole-moi, envole-moi
Remplis ma tête d’autres horizons, d’autres mots
Envole-moi
Me laisse pas là, emmène-moi, envole-moi
Croiser d’autres yeux qui ne se résignent pas
Envole-moi, tire-moi de là
Montre-moi ces autres vies que je ne sais pas
Envole-moi
Envole-moi, envole-moi, envole-moi
Regarde-moi bien, je ne leur ressemble pas
Me laisse pas là, envole-moi
Avec ou sans toi, je n’finirai pas comme ça
Envole-moi
Envole-moi, envole-moi, envole-moi
Envole-moi
Et même si le temps presse
Même s’il est un peu court
Si les années qu’on me laisse
Ne sont que minutes et jours
Et même si l’on m’arrête
Ou s’il faut briser des murs
En soufflant dans des trompettes
Ou à force de murmures
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
Et même s’il faut partir
Changer de terre ou de trace
S’il faut chercher dans l’exil
L’empreinte de mon espace
Et même si les tempêtes
Les dieux mauvais, les courants
Nous ferons courber la tête
Plier genoux sous le vent
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Et même si tu me laisses
Au creux d’un mauvais détour
En ces moments où l’on teste
La force de nos amours
Je garderai la blessure
Au fond de moi, tout au fond
Mais au dessus je te jure
Que j’effacerai ton nom
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
J’irai au bout de mes rêves
Tout au bout de mes rêves
Où la raison s’achève
Tout au bout de mes rêves
Je m’baladais sur l’avenue le cœur ouvert à l’inconnu
J’avais envie de dire bonjour à n’importe qui
N’importe qui et ce fut toi, je t’ai dit n’importe quoi
Il suffisait de te parler, pour t’apprivoiser
Aux Champs-Elysées, aux Champs-Elysées
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées
Tu m’as dit « J’ai rendez-vous dans un sous-sol avec des fous
Qui vivent la guitare à la main, du soir au matin »
Alors je t’ai accompagnée, on a chanté, on a dansé
Et l’on n’a même pas pensé à s’embrasser
Aux Champs-Elysées, aux Champs-Elysées
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées
Hier soir, deux inconnus et ce matin sur l’avenue
Deux amoureux tout étourdis par la longue nuit
Et de l’Étoile à la Concorde, un orchestre à mille cordes
Tous les oiseaux du point du jour chantent l’amour
Aux Champs-Elysées, aux Champs-Elysées
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées
Aux Champs-Elysées, aux Champs-Elysées
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez aux Champs-Elysées
Aux Champs-Elysées, aux Champs-Elysées
Au soleil, sous la pluie, à midi ou à minuit
Woho woho
Woho woho
Je l’ai vu prés d’un laurier elle gardait ses blanches brebis
Quand j’ai demandé d’où venait sa peau fraiche elle m’a dit
V’est d’rouler dans la rosée qui rend les bergères jolies!
Mais quand j’ai dit qu’avec elle je voudrais y rouler aussi
Elle ma dit
Elle ma dit d’aller siffler là haut sur la colline, de l’attendre avec un petit bouquet d’églantines
J’ai cueilli les fleurs et j’ai siffler tant que j’ai pu j’ai attendu attendu elle n’est jamais venu
Zaï zaï zaï
Zaï zaï zaï
Zaï zaï zaï
Zaï zaï zaï
À la foire du village un jour je lui ai soupiré
Que je voudrais être une pomme suspendue à un pommier
Et qu’à chaque fois qu’elle passe
Elle vienne me mordre dedans
Mais elle est passée tout en me montrant ses jolies dents
Elle m’a dit
Elle m’a dit d’aller siffler là haut sur la colline, de l’attendre avec un petit bouquet d’églantines
J’ai cuelli les fleurs et j’ai sifflé tant que j’ai pu
J’ai attendu attendu elle n’est jamais venue
Zaï zaï zaï
Zaï zaï zaï
Zaï zaï zaï
Zaï zaï zaï
Woho woho
Woho woho
Elle m’a dit d’aller siffler là haut sur la colline, de l’attendre avec un petit bouquet d’églantines
J’ai cuelli les fleurs et j’ai sifflé tant que j’ai pu j’ai attendu attendu
Elle n’est jamais venue
Zaï zaÏ zaï
EaÏ zaï zaï
Zaï zaï zaï
Zaï zaï zaï
Woho woho
Woho woho
Woho woho
Gabrielle
Tu brûles mon esprit, ton amour étrangle ma vie
Et l’enfer
Ouais, devient comme un espoir car dans tes mains je meurs chaque soir
Je veux partager autre chose que l’amour dans ton lit
Et entendre la vie et ne plus m’essouffler sous tes cris
Oh fini, fini pour moi
Je ne veux plus voir mon image dans tes yeux, ouais
Dix ans de chaînes sans voir le jour, c’était ma peine forçat de l’amour
Et bonne chance à celui qui veut ma place
Dix ans de chaînes sans voir le jour, c’était ma peine forçat de l’amour
J’ai, moi, j’ai refusé
(Mourir d’amour enchaîné)
Oh, Gabrielle
Je l’ai rencontré à Los Angeles, dans un studio
On a fait du blues ensemble
Il a enregistré avec moi dans mon album de blues
Et quand je l’ai entendu jouer, je lui ai dit
Reste avec nous dans le groupe
Ce soir, il est avec nous sur scène
À l’harmonica
Greg Zlap!
Et Gabrielle
Tu flottes dans mon cœur, c’est une illusion de douceur
Et tu chantes
C’est la voix d’une enfant avec laquelle tu glaces mon sang
Oh, je veux t’expliquer, tu confonds et le jour et la nuit
Moi, je veux t’approcher, mais tu tournes le dos et tu t’enfuis
Oh sais-tu vraiment ce que tu veux faire?
Je ne serai plus l’esclave de ta chair
Dix ans de chaînes sans voir le jour, c’était ma peine forçat de l’amour
Et bonne chance à celui qui veut ma place
Dix ans de chaînes sans voir le jour, c’était ma peine forçat de l’amour
Tu sais, moi j’ai refusé (mourir d’amour enchaîné)
Oh oui, moi j’ai refusé (mourir d’amour enchaîné)
J’ai refusé (mourir d’amour enchaîné)
Whoo, Gabrielle!
Souvenirs, souvenirs
J’aimerais vous chanter une chanson de mon dernier album
Mais pour ça j’aimerais la chanter avec ma choriste
Amy Keys!
J’ai longtemps parcouru son corps
Effleuré cent fois son visage
J’ai trouvé de l’or et même quelques étoiles
En essuyant ses larmes
Et j’ai appris par cœur la pureté de ses formes
Parfois je les dessine encore
Elle fait partie de moi
Je veux juste une dernière danse
Avant l’ombre et l’indifférence
Un vertige puis le silence
Je veux juste une dernière danse
Je l’ai connue trop tôt mais c’est pas de ma faute
La flèche a traversé ma peau
C’est une douleur qui se garde
Qui fait plus de bien que de mal
Mais je connais l’histoire, il est déjà trop tard
Dans son regard, on peut apercevoir qu’elle se prépare
Au long voyage
Je veux juste une dernière danse
Avant l’ombre et l’indifférence
Un vertige puis le silence
Je veux juste une dernière danse
Je peux mourir demain, ça ne change rien
J’ai reçu de ses mains
Le bonheur ancré dans mon âme
C’est même trop pour un seul homme
Et je l’ai vu partir, sans rien dire
Il fallait seulement qu’elle respire
Merci, d’avoir enchanté ma vie
Avant l’ombre et l’indifférence
Un vertige puis le silence
Je veux juste une dernière danse
J’ai longtemps parcouru son corps
Effleuré cent fois son visage
J’ai trouvé de l’or et même quelques étoiles
En essuyant ses larmes
Et j’ai appris par cœur la pureté de ses formes
Parfois je les dessine encore
Elle fait partie de moi
Une dernière danse
Couplet
Com-pren-drais-tu ma belle qu’un jour
fa-ti-gué j’ail-le me bri-ser la voix
une der-nière fois à cent vingt dé-ci-bels
contre un grand châ-tai-gner
d’a-mour pour toi
Trouverais-tu cruel
Que le doigt sur la bouche
Je t’emmène, hors des villes
En un fort, une presqu’île
Oublier nos duels
Nos escarmouches
Nos peurs imbéciles
On irait y attendre
La fin des combats
Jeter aux vers, aux vautours
Tous nos plus beaux discours
Ces mots qu’on rêvait d’entendre
Et qui n’existent pas
Y devenir sourds
Refrain
Il est un es-tuaire à nos fleu-ves de sou-pirs
où l’eau mê-le nos mys-tères et nos bel-les dif-fé-rences
j’y ap-pren-drai à me taire et tes lar-mes re-te-nir
dans cet au-tre Fi-nis-tère aux lon-gues pla-ges de si-len ce
Couplet 1 : (suite)
Trouverais-tu cruel
Que le doigt sur la bouche
Je t’emmène, hors des villes
En un fort, une presqu’île
Oublier nos duels
Nos escarmouches
Nos peurs imbéciles
On irait y attendre
La fin des combats
Jeter aux vers, aux vautours
Tous nos plus beaux discours
Ces mots qu’on rêvait d’entendre
Et qui n’existent pas
Y devenir sourds
Couplet 2 :
Bien sûr on se figure
Que le monde est mal fait
Que les jours nous abiment
Comme de la toile de Nîmes
Qu’entre nous, il y a des murs
Qui jamais ne fissurent
Que même l’air nous opprime
Et puis on s’imagine
Des choses et des choses
Que nos liens c’est l’argile
Des promesses faciles
Sans voir que sous la patine
Du temps, il y a des roses
Des jardins fertiles
Couplet 3 :
Car là-haut dans le ciel
Si un jour je m’en vais
Ce que je voudrais de nous
Emporter avant tout
C’est le sucre, et le miel
Et le peu que l’on sait
N’être qu’à nous
Ca me déplairait pas que tu m’embrasses
Na na na
Mais faut saisir ta chance avant qu’elle passe
Na na na
Si tu cherches un truc pour briser la glace
Banana banana banana
C’est le dessert
Que sert
L’abominable homme des neiges
A l’abominable enfant teenage
Un amour de dessert
Banana na na na na banana split
Les cerises confites sont des lipsticks
Na na na
Qui laissent des marques rouges sur l’antarctique
Na na na
Et pour le faire fondre une tactique
Banana banana banana
Baisers givrés sur les montagnes blanches
Na na na
On dirait que les choses se déclenchent
Na na na
La chantilly s’écroule en avalanche
Banana banana banana
Je suis un missionnaire de la drague, je l’avoue
Le kiki au toutou en espadrilles à clous
Elle craquait sur les sièges, les pendentifs
J’ai la poupée d’E.T. Dans ma golf GTI
Elle était émotive en parlant de Jean-Yves
Un amant incompris, qu’elle quitta pour Henri, et oui
Mais j’me foutais d’sa vie et surtout de son avis
Beaucoup moins de son envie, tu veux pas, j’reste en vie
Je suis un machistador
Et je crois qu’elle m’adore
Non, non, non y a pas d’error
Oh, machistador
Je me brise au Whisky-Glace
Mais je courtise avec classe
Je m’allume un Malibu
Malade, pas beau quand j’ai trop bu (berk)
Point d’vue image du monde, à votre âge c’est immonde
De vivre sur le cul de ces individus
Qui n’ont pas plus à dire que Raoul sur sa tire
Je suis un machistador
Je crois qu’elle m’adore
Non, non, non y a pas d’error
Machistador
On t’a déjà fait le coup du (?)
Dans le mouvement d’approche, j’ai le mou membre en poche
Et d’un pas pragmatique, je pratique la drague
Mais ma poitrine est imberbe, il faut y remédier
Pour jouer au salaud comme les fils de John Wayne
Avec un long manteau, un chapeau, pas la peine
Même les jours difficiles, j’ai toujours les mots piles
Je suis un machistador (eh ouais)
Je sais qu’elle m’adore (ça j’en suis sûr)
Non, non, non y a pas d’error
Machistador
Je suis laid, laid, laid, laid, laid, laid, laid
À en faire vomir ma mère (nan, t’es pas si laid)
Je suis laid, laid, laid, laid, laid, laid
Macho, macho, Machistador, macho, macho (j’adore)
Macho, macho, Machistador, macho, macho
Machistador (eh ouais)
ça c’est d’la (?)
Tu aimes la gym, l’esthétique?
Mama Sam, Mama Sam
Mama Sam, Mama Sam
Mama Sam, Mama Sam
Mama Sam, Mama Sam
Mama Sam, Mama Sam
Mama Sam, Mama Sam
Quand je te revois Mama Sam
Je retrouve les vraies valeurs
Un si grand cœur, une si belle âme
Qui ne se soucie jamais de l’heure
Quand je pense qu’elle était comme moi
Issue de ce pays glacial
Maintenant qu’elle vit au Kenya
C’est l’africaine occidentale
Non, je ne connais pas l’Afrique
(Non, je ne connais pas l’Afrique)
Aigrie est ma couleur de peau
(Aigrie est ma couleur de peau)
La vie est une machine à fric
(La vie est une machine à fric)
Où les affreux n’ont pas d’afro
Tous ces jeunes américanisés
Nike de la tête aux pieds
Génération très, très marquée
Mama Sam est consternée
À cette époque où faire l’amour
Est un danger pour l’humanité
Il est honteux d’afficher Nike
Sur nos vêtements dégénérés
Non, je ne connais pas l’Afrique
(Non, je ne connais pas l’Afrique)
Aigrie est ma couleur de peau
(Aigrie est ma couleur de peau)
La vie est une machine à fric
(La vie est une machine à fric)
Où les affreux n’ont pas d’afro
Mama Sam, Mama Sam
Mama Sam, Mama Sam
Mama Sam, Mama Sam
Mama Sam, Mama Sam
Mama Sam, Mama Sam
Mama Sam, Mama Sam
Mama Sam, cette fois c’est décidé
M’éloigner de Paname me fera le plus grand bien
Et si ça se trouve je ne reviendrai jamais
Je serais le plus blanc-bec de tous les africains
Non, je ne connais pas l’Afrique
(Non, je ne connais pas l’Afrique)
Aigrie est ma couleur de peau
(Aigrie est ma couleur de peau)
La vie est une machine à fric
(La vie est une machine à fric)
Où les affreux n’ont pas d’afro
Non, je ne connais pas l’Afrique
(Non, je ne connais pas l’Afrique)
Aigrie est ma couleur de peau
(Aigrie est ma couleur de peau)
La vie est une machine à fric
(La vie est une machine à fric)
Où les affreux n’ont pas d’afro
Pour un flirt avec toi
Je ferais n’importe quoi
Pour un flirt avec toi
Je serais prêt à tout
Pour un simple rendez-vous
Pour un flirt avec toi
Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps
La la la la la la, lala lala
La la la la la la, lala lala
La la la la la la, lala lala
Je pourrais tout quitter
Quitte à faire démodé
Pour un flirt avec toi
Je pourrais me damner
Pour un seul baiser volé
Pour un flirt avec toi
Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps
La la la la la la, lala lala
La la la la la la, lala lala
La la la la la la, lala lala
Je ferais l’amoureux
Pour te câliner un peu
Pour un flirt avec toi
Je ferais des folies
Pour arriver dans ton lit
Pour un flirt avec toi
Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps
La la la la la la, lala lala
La la la la la la, lala lala
La la la la la la, lala lala
La la la la la la, lala lala
La la la la la la, lala lala
La la la la la la, lala lala
La la la…
C’est un endroit qui ressemble à la Louisiane
À l’Italie
Il y a du linge étendu sur la terrasse
Et c’est joli
On dirait le Sud
Le temps dure longtemps
Et la vie sûrement
Plus d’un million d’années
Et toujours en été
Il y a plein d’enfants qui se roulent sur la pelouse
Il y a plein de chiens
Il y a même un chat, une tortue, des poissons rouges
Il ne manque rien
On dirait le Sud
Le temps dure longtemps
Et la vie sûrement
Plus d’un million d’années
Et toujours en été
Di-di, di-di, di-di, di-di
Di-di, di-di, di-di, di-di
Di-di, di-di, di-di, di-di
Un jour ou l’autre il faudra qu’il y ait la guerre
On le sait bien
On n’aime pas ça, mais on ne sait pas quoi faire
On dit, « c’est le destin »
Tant pis pour le Sud
C’était pourtant bien
On aurait pu vivre
Plus d’un million d’années
Et toujours en été
How many special people change?
How many lives are livin’ strange?
Where were you while we were getting high?
Slowly walkin’ down the hall
Faster than a cannonball
Where were you while we were getting high?
Someday you will find me
Caught beneath the landslide
In a champagne supernova in the sky
Someday you will find me
Caught beneath the landslide
In a champagne supernova
A champagne supernova in the sky
Wake up the dawn and ask her why
A dreamer dreams she never dies
Wipe that tear away now from your eye
Slowly walkin’ down the hall
Faster than a cannonball
Where were you while we were getting high?
Someday you will find me
Caught beneath the landslide
In a champagne supernova in the sky
Someday you will find me
Caught beneath the landslide
In a champagne supernova
A champagne supernova
‘Cause people believe
That they’re gonna get away for the summer
But you and I, we live and die
The world’s still spinnin’ ’round, we don’t know why
Why, why, why, why
How many special people change?
How many lives are livin’ strange?
Where were you while we were getting high?
Slowly walkin’ down the hall
Faster than a cannonball
Where were you while we were getting high?
Someday you will find me
Caught beneath the landslide
In a champagne supernova in the sky
Someday you will find me
Caught beneath the landslide
In a champagne supernova
A champagne supernova
‘Cause people believe
That they’re gonna get away for the summer
But you and I, we live and die
The world’s still spinnin’ ’round, we don’t know why
Why, why, why, why
Na, na, na
Na, na
Na, na
Na, na, na
Na, na
Na, na
Na, na
Na, na
Na, na, na
How many special people change?
How many lives are livin’ strange?
Where were you while we were getting high?
We were getting high
We were getting high
We were getting high
We were getting high
We were getting high
We were getting high
We were getting high
We were getting high
We were getting high
Today is gonna be the day
That they’re gonna throw it back to you
By now you should’ve somehow
Realized what you gotta do
I don’t believe that anybody
Feels the way I do about you now
Backbeat, the word is on the street
That the fire in your heart is out
I’m sure you’ve heard it all before
But you never really had a doubt
I don’t believe that anybody
Feels the way I do about you now
And all the roads we have to walk are winding
And all the lights that lead us there are blinding
There are many things that I
Would like to say to you but I don’t know how
Because maybe
You’re gonna be the one that saves me
And after all
You’re my wonderwall
Today was gonna be the day
But they’ll never throw it back to you
By now you should’ve somehow
Realized what you’re not to do
I don’t believe that anybody
Feels the way I do about you now
And all the roads that lead you there were winding
And all the lights that light the way are blinding
There are many things that I
Would like to say to you but I don’t know how
I said maybe
You’re gonna be the one that saves me
And after all
You’re my wonderwall
I said maybe (I said maybe)
You’re gonna be the one that saves me
And after all
You’re my wonderwall
I said maybe (I said maybe)
You’re gonna be the one that saves me (saves me)
You’re gonna be the one that saves me (that saves me)
You’re gonna be the one that saves me (that saves me)
Si, ce soir, j’ai pas envie d’rentrer tout seul
Si, ce soir, j’ai pas envie d’rentrer chez moi
Si, ce soir, j’ai pas envie d’fermer ma gueule
Si, ce soir, j’ai envie d’me casser la voix
Casser la voix, casser la voix
Casser la voix, casser la voix
J’peux plus croire
Tout c’qui est marqué sur les murs
J’peux plus voir
La vie des autres, même en peinture
J’suis pas là
Pour les sourires d’après minuit
M’en veux pas
Si, ce soir, j’ai envie
D’me casser la voix, casser la voix
Casser la voix, casser la voix
Les amis qui s’en vont
Et les autres qui restent
Se faire prendre pour un con
Par des gens qu’on désteste
Des rendez-vous manqués
Et le temps qui se perd
Entre des jeunes usés
Et des vieux qui espèrent
Et ces flashs qui aveuglent
À la télé chaque jour
Et les salauds qui beuglent
La couleur de l’amour
Et les journaux qui traînent
Comme je traîne mon ennui
La peur qui est la mienne
Quand je m’réveille la nuit
Casser la voix, casser la voix
Casser la voix, casser la voix
Et les filles de la nuit
Qu’on voit jamais le jour
Et qu’on couche dans son lit
En appelant ça d’l’amour
Et les souvenirs honteux
Qu’on oublie devant sa glace
En s’disant « j’suis dégueux
Mais j’suis pas dégueulasse »
Doucement les rêves qui coulent
Sous l’regard des parents
Et les larmes qui roulent
Sur les joues des enfants
Et les chansons qui viennent
Comme des cris dans la gorge
Envie d’crier sa haine
Comme un chat qu’on égorge
Casser la voix, casser la voix
Casser la voix, casser la voix
Si, ce soir, j’ai pas envie d’rentrer tout seul
Si, ce soir, j’ai pas envie d’rentrer chez moi
Si, ce soir, j’ai pas envie d’fermer ma gueule
Si, ce soir, j’ai envie d’me casser la voix
On s’était dit rendez-vous dans 10 ans
Même jour, même heure, même pommes
On verra quand on aura 30 ans
Sur les marches de la place des grands hommes
Le jour est venu et moi aussi
Mais j’ veux pas être le premier
Si on avait plus rien à se dire et si et si
Je fais des détours dans le quartier
C’est fou ce qu’un crépuscule de printemps
Rappelle le même crépuscule qu’il y a 10 ans
Trottoirs usés par les regards baissés
Qu’est-ce que j’ai fait de ces années?
J’ai pas flotté tranquille sur l’eau
J’ai pas nagé le vent dans le dos
Dernière ligne droite, la rue Soufflot
Combien seront là 4, 3, 2, 1, 0?
On s’était dit rendez-vous dans 10 ans
Même jour, même heure, même pommes
On verra quand on aura 30 ans
Sur les marches de la place des grands hommes
J’avais eu si souvent envie d’elle
La belle Séverine me regardera-t-elle?
Eric voulait explorer le subconscient
Remonte-t-il à la surface de temps en temps?
J’ai un peu peur de traverser l’ miroir
Si j’y allais pas, j’ me serais trompé d’un soir
Devant une vitrine d’antiquités
J’imagine les retrouvailles de l’amitié
« T’as pas changé, qu’est-ce que tu deviens?
Tu t’es mariée, t’as trois gamins
T’as réussi, tu fais médecin?
Et toi Pascale, tu t’ marres toujours pour rien? »
On s’était dit rendez-vous dans 10 ans
Même jour, même heure, même pommes
On verra quand on aura 30 ans
Sur les marches de la place des grands hommes
J’ai connu des marées hautes et des marées basses
Comme vous, comme vous, comme vous
J’ai rencontré des tempêtes et des bourrasques
Comme vous, comme vous, comme vous
Chaque amour morte à une nouvelle a fait place
Et vous, et vous
Et vous?
Et toi Marco qui ambitionnait simplement
D’être heureux dans la vie
As-tu réussi ton pari?
Et toi François, et toi Laurence, et toi Marion
Et toi Gégé
Et toi Bruno, et toi Évelyne?
Et ben c’est formidable les copains
On s’est tout dit, on s’ sert la main
On ne peut pas mettre 10 ans sur table
Comme on étale ses lettres au Scrabble
Dans la vitrine je vois le reflet
D’une lycéenne derrière moi
Elle part à gauche, je la suivrai
Si c’est à droite
Attendez-moi
Attendez-moi!
Attendez-moi!
Attendez-moi!
On s’était dit rendez-vous dans 10 ans
Même jour, même heure, même pommes
On verra quand on aura 30 ans
Si on est d’venus des grands hommes
Des grands hommes
Des grands hommes
Tiens si on s’ donnait rendez-vous dans 10 ans
Cœur de loup
Cœur de loup
Cœur de loup
Pas le temps de tout lui dire
Pas le temps de tout lui taire
Juste assez pour tenter la satyre
Qu’elle sente que j’veux lui plaire
Sous le pli de l’emballage
La lubie de faufiler
La folie de rester sage si elle veut
Ou pas l’embrasser
Quand d’un coup d’elle se déplume
Mon œillet lui fait de l’œil
Même hululer sous la lune ne m’fait pas peur
Pourvu qu’elle veuille
Je n’ai qu’une seule envie
Me laisser tenter
La victime est si belle
Et le crime est si gai
Pas besoin de beaucoup
Mais pas de peu non plus
Par le biais d’un billet fou
Lui faire savoir que j’n’en peux plus
C’est le cas du kamikaze
C’est l’abc du condamné
Le légionnaire qui veut l’avantage des voyages
Sans s’engager
Elle est si frêle esquive
Sous mes bordées d’amour
Je suppose qu’elle suppose
Que je l’aimerai toujours
Le doigt sur l’aventure
Le pied dans l’inventaire
Même si l’affaire n’est pas sûre
Ne pas s’enfuir, ne pas s’en faire
Je n’ai qu’une seule envie
Me laisser tenter
La victime est si belle
Et le crime est si gai
Cœur de loup
Peur du lit
Séduis-la
Sans délai
Suis le swing
C’est le coup de gong du king, bong
Cœur de loup
M’as-tu lu
L’appel aux
Gais délits
Sors du ring
C’est le coup de gong du king, bong
Cœur de loup
Peur du lit
Séduis-la
Sans délai
Suis le swing
C’est le coup de gong du king, bong
Cœur de loup
M’as-tu lu
L’appel aux
Gais délits
Sors du ring
C’est le coup de gong du king, bong
Cœur de loup
Peur du lit
Séduis-la
Sans délai
Suis le swing
C’est le coup de gong du king, bong
Cœur de loup
M’as-tu lu
L’appel aux
Gais délits
Sors du ring
C’est le coup de gong du king, bong
Pas le temps de mentir
Ni de quitter la scène
Yep, elle aura beau rougir
De toute façon il faut qu’elle m’aime
Je n’ai qu’un seule envie
Me laisser tenter
La victime est si belle
Et le crime est si gai
Pas le temps de tout lui dire
Ni de quitter la scène
Yep, elle aura beau rougir
De toute façon il faut qu’elle m’aime
Pas le temps de tout lui dire
Cœur de loup
Ni de quitter la scène
Séduis-la
Yep, elle aura beau rougir
De toute façon il faut qu’elle m’aime
Peur du lit
Pas le temps de tout lui dire
Cœur de loup
Ni de quitter la scène
L’appel aux
Yep, elle aura beau rougir
De toute façon il faut qu’elle m’aime
C’est joli
Pas le temps de tout lui dire
Cœur de loup
Ni de quitter la scène
Yep, elle aura beau rougir
De toute façon il faut qu’elle m’aime
Pas le temps de tout lui dire
Cœur de loup
Ni de quitter la scène
Yep, elle aura beau rougir
De toute façon il faut qu’elle m’aime
Pas le temps de tout lui dire
Cœur de loup
Ni de quitter la scène
Yep, elle aura beau rougir
De toute façon il faut qu’elle m’aime
Uh
You don’t have to be beautiful
To turn me on
I just need your body, baby
From dusk ’til dawn
You don’t need experience
To turn me out
You just leave it all up to me
I’m gonna show you what it’s all about
You don’t have to be rich
To be my girl
You don’t have to be cool
To rule my world
Ain’t no particular sign
I’m more compatible with
I just want your extra time and your
Kiss
Ah, oh-oh
You got to not talk dirty, baby
If you wanna impress me (ah)
You can’t be too flirty, mama
I know how to undress me, yeah
I want to be your fantasy
Maybe you could be mine
You just leave it all up to me
We could have a good time, uh
Don’t have to be rich
To be my girl
You don’t have to be cool
To rule my world
Ain’t no particular sign
I’m more compatible with
I just want your extra time and your
Kiss
Yes, oh-oh-oh-oh
Ah
I think I wanna dance
Uh
Ooh
Gotta, gotta, oh
Little girl Wendy’s parade
Gotta, gotta, gotta
Women, not girls, rule my world
I said they rule my world
Act your age, mama (not your shoe size)
Not your shoe size
Maybe we could do the twirl
You don’t have to watch Dynasty
To have an attitude, uh
You just leave it all up to me
My love will be your food
Yeah
You don’t have to be rich
To be my girl
You don’t have to be cool
To rule my world
Ain’t no particular sign
I’m more compatible with
I just want your extra time and your
Kiss
When you were here before
Couldn’t look you in the eye
You’re just like an angel
Your skin makes me cry
You float like a feather
In a beautiful world
I wish I was special
You’re so fuckin’ special
But I’m a creep
I’m a weirdo
What the hell am I doin’ here?
I don’t belong here
I don’t care if it hurts
I wanna have control
I want a perfect body
I want a perfect soul
I want you to notice
When I’m not around
So fuckin’ special
I wish I was special
But I’m a creep
I’m a weirdo
What the hell am I doin’ here?
I don’t belong here
She’s running out the door (run)
She’s running out
She run, run, run, run,
Run…
Whatever makes you happy
Whatever you want
You’re so fuckin’ special
I wish I was special
But I’m a creep
I’m a weirdo
What the hell am I doin’ here?
I don’t belong here
I don’t belong here
C’est comme ça, ah, la la la la la
Ouais, le secret ça coupe et ça donne
Oh, faut que j’move sans fin
Du venin qui me fait mal au cœur
Quand le serpent chaloupe et console
Oh, oh, faut que j’move
L’ami Sadi s’enlise et là ça fait peur
Si c’est ça, ah, la la la la la
Ça le susurre à mes entournures
Ah, ah, faut que j’move
Ça le grince juste pendant la nuit
Ah, c’est comme ça, ça plonge et ça vire
Ah, ah, faut que j’move
Et ça gêne, quoi, quand y a pas de plaisir
C’est comme ça, ah la la la la
La lala lala lala lalala
La lala lala lala la
La lala lala lala lalala lala lalala
Ah, ah, ah, ah, lalala lala
Je veux pas t’abandonner, mon bébé
Je veux pas nous achever, tu sais
C’est pas que je veux te nuire
Ni que je veux m’enfuir
Il me faut prendre le frais, c’est vrai, hé, hé, hé
Hé, viens près de moi que je te le dise
Faut que j’move
Ce secret qui me tord le cœur
Ah, la la la
Ah, la la la la la
La lala lala lala lalala
La lala lala lala la
La lala lala lala lalala lala lalala
La lala lala lala la
Ah, la la la la la
La lala lala lala lalala
La lala lala lala la
La lala lala lala lalala lala lalala
Ah, la la la la la
La lala lala lala lalala
La lala lala lala la
La lala lala lala lalala lala lalala
La lala lala lala lalala
La lala lala lala lalala lala lalala
La lala lala lala lalala
Marcia elle danse
Sur du satin, de la rayonne
Du polystyrène expansé
À ses pieds
Marcia danse avec des jambes
Aiguisées comme des couperets
Deux flèches qui donnent des idées
Des sensations
Marcia elle est maigre
Belle en scène, belle comme a la ville
La voir danser me transforme
En excitée
Moretto, comme ta bouche
Est immense quand tu souris
Et quand tu ris, je ris aussi
Tu aimes tellement la vie
Quel est donc ce froid
Que l’on sent en toi?
Mais c’est la mort
Qui t’a assassinée Marcia
C’est la mort
Tu t’es consumée Marcia
C’est le cancer
Que tu as pris sous ton bras
Maintenant tu es en cendres, en cendres
La mort c’est comme une chose impossible
Et même à toi qui est forte comme une fusée
Et même à toi qui est la vie même Marcia
C’est la mort qui t’a emmenée
Marcia danse un peu chinois
La chaleur dans les mouvements d’épaules
À plat comme un hiéroglyphe inca
De l’opéra
Avec la tête
Elle danse aussi très bien
Et son visage
Danse avec tout le reste
Elle a cherché une nouvelle façon
Et l’a inventée
C’est elle la sauterelle
La sirène en mal d’amour
Le danseur dans la flanelle
Ou le carton
Moretto, comme ta bouche
Est immense quand tu souris
Et quand tu ris, je ris aussi
Tu aimes tellement la vie
Quel est donc ce froid
Que l’on sent en toi?
Mais c’est la mort
Qui t’a assassinée Marcia
C’est la mort
Tu t’es consumée Marcia
C’est le cancer
Que tu as pris sous ton bras
Maintenant tu es en cendres, en cendres
La mort c’est comme une chose impossible
Même pour toi qui est la vie même Marcia
Et même à toi qui est forte comme une fusée
C’est la mort qui t’a emmenée
Marcia, Marcia, Marcia, Marcia, Marcia
Cendrillon, pour ses 20 ans
Est la plus jolie des enfants
Son bel amant, le prince charmant
La prend sur son cheval blanc
Elle oublie le temps
Dans ce palais d’argent
Pour ne pas voir qu’un nouveau jour se lève
Elle ferme les yeux, et dans ses rêves
Elle part
Jolie petite histoire
Elle part
Jolie petite histoire
Cendrillon, pour ses 30 ans
Est la plus triste des mamans
Le prince charmant a foutu le camp
Avec la belle au bois dormant
Elle a vu 100 chevaux blancs
Loin d’elle emmener ses enfants
Elle commence à boire
À traîner dans les bars
Emmitouflée dans son cafard
Maintenant elle fait le trottoir
Elle part
Jolie petite histoire
Elle part
Jolie petite histoire
10 ans de cette vie ont suffi
À la changer en junkie
Et dans un sommeil infini
Cendrillon voit finir sa vie
Les lumières dansent
Dans l’ambulance
Et elle tue sa dernière chance
Tout ça n’a plus d’importance
Elle part
Fin de l’histoire
Notre Père, qui êtes si vieux
As-tu vraiment fait de ton mieux?
Car sur la terre et dans les cieux
Tes anges n’aiment pas devenir vieux
Un jour j’irai à New York avec toi
Toutes les nuits déconner
Et voir aucun film en entier, ça va d’soi
Avoir la vie partagée, tailladée
Bercés par le ronron de l’air conditionné
Dormir dans un hôtel délatté
Traîner du côté gay et voir leurs corps se serrer
Voir leurs cœurs se vider et saigner
Oui, saigner
Un jour j’irai là -bas
Un jour Chat, un autre Rat
Voir si le cœur de la ville bat en toi
Et tu m’emmèneras
Emmène-moi!
Un jour j’aurai New York au bout des doigts
On y jouera, tu verras
Dans les clubs il fait noir, mais il ne fait pas froid
Ne fait pas froid si t’y crois
Et j’y crois!
Les flaques de peinture sur les murs ont parfois
La couleur des sons que tu bois
Et puis c’est tellement grand que vite on oubliera
Que nulle part c’est chez moi, chez toi
Chez nous, quoi!
Un jour j’irai là -bas
Un jour Chat, un autre Rat
Voir si le cœur de la ville bat en toi
Et tu m’emmèneras
Un jour (emmène-moi, mène-moi)
(Emmène-moi, mène-moi)
Un jour (toucher à ci, toucher à ça)
Voir si le cœur de la ville bat en moi
Et tu m’emmèneras!
Emmène-moi!
Je rêvais d’un autre monde
Où la terre serait ronde
Où la lune serait blonde
Et la vie serait féconde
Je dormais à poing fermé
Je ne voyais plus en pieds
Je rêvais réalité
Ma réalité
Je rêvais d’une autre terre
Qui resterait un mystère
Une terre moins terre à terre
Oui, je voulais tout foutre en l’air
Je marchais les yeux fermés
Je ne voyais plus mes pieds
Je rêvais réalité
Ma réalité, ma réalité
Oui, je rêvais de notre monde
Et la terre est bien ronde
Et la lune est si blonde
Ce soir dansent les ombres du monde
A la rêver immobile
Elle m’a trouvé bien futile
Mais quand bouger l’a fait tourner
Ma réalité m’a pardonné
M’a pardonné
Ma réalité m’a pardonné
Dansent les ombres du monde
Dansent les ombres du monde
Dansent les ombres du monde
Dansent les ombres du monde
Dansent, dansent, dansent, dansent, dansent
Dansent, dansent, dansent, dansent, dansent
Dansent, dansent, dansent les ombres du monde
Hey Jude, don’t make it bad.
Take a sad song and make it better.
Remember to let her into your heart,
Then you can start to make it better.
Hey Jude, don’t be afraid.
You were made to go out and get her.
The minute you let her under your skin,
Then you begin to make it better.
And anytime you feel the pain, hey Jude, refrain,
Don’t carry the world upon your shoulders.
For well you know that it’s a fool who plays it cool
By making his world a little colder.
Hey Jude, don’t let me down.
You have found her, now go and get her.
Remember to let her into your heart,
Then you can start to make it better.
So let it out and let it in, hey Jude, begin,
You’re waiting for someone to perform with.
And don’t you know that it’s just you, hey Jude, you’ll do,
The movement you need is on your shoulder.
Hey Jude, don’t make it bad.
Take a sad song and make it better.
Remember to let her under your skin,
Then you’ll begin to make it
Better better better better better better, oh.
Na na na nananana, nannana, hey Jude…
When I find myself in times of trouble, Mother Mary comes to me
Speaking words of wisdom, let it be
And in my hour of darkness she is standing right in front of me
Speaking words of wisdom, let it be
Let it be, let it be, let it be, let it be
Whisper words of wisdom, let it be
And when the broken hearted people living in the world agree
There will be an answer, let it be
For though they may be parted, there is still a chance that they will see
There will be an answer, let it be
Let it be, let it be, let it be, let it be
There will be an answer, let it be
Let it be, let it be, let it be, let it be
Whisper words of wisdom, let it be
Let it be, let it be, let it be, let it be
Whisper words of wisdom, let it be, be
And when the night is cloudy there is still a light that shines on me
Shinin’ until tomorrow, let it be
I wake up to the sound of music, Mother Mary comes to me
Speaking words of wisdom, let it be
And let it be, let it be, let it be, let it be
Whisper words of wisdom, let it be
And let it be, let it be, let it be, let it be
Whisper words of wisdom, let it be
Down around the corner, half a mile from here
See them long trains run, and you watch them disappear
Without love, where would you be now?
Without love
You know I saw miss Lucy down along the tracks
She lost her home and her family and she won’t be coming back
Without love, where would you be right now?
Without love
Well the Illinois Central
And the Southern Central Freight
Got to keep on pushin’ mama
You know they’re running late
Without love, where would you be now-now-now-now?
Without love
Well the Illinois Central
And the Southern Central Freight
Got to keep on pushin’ mama
You know they’re running late
Without love, where would you be now?
Without love
Well the pistons keep on turning
And the wheels go round and round
And the steel rails are cold and hard
For the miles that they go down
Without love, where would you be right now?
Without love, ooh
Where would you be now?
Mmm, got to get you, baby, baby, won’t you move it down?
Won’t you move it down?
Baby, baby, baby, baby, won’t you move it down?
When the big train run
When the train is movin’ on, I got to keep on movin’
Keep on movin’
Won’t you keep on movin’?
Gonna keep on movin’
On a dark desert highway, cool wind in my hair
Warm smell of colitas, rising up through the air
Up ahead in the distance, I saw a shimmering light
My head grew heavy and my sight grew dim
I had to stop for the night
There she stood in the doorway;
I heard the mission bell
And I was thinking to myself,
« This could be Heaven or this could be Hell »
Then she lit up a candle and she showed me the way
There were voices down the corridor,
I thought I heard them say…
Welcome to the Hotel California
Such a lovely place (Such a lovely place)
Such a lovely face
Plenty of room at the Hotel California
Any time of year (Any time of year)
You can find it here
Her mind is Tiffany-twisted, she got the Mercedes bends
She got a lot of pretty, pretty boys she calls friends
How they dance in the courtyard, sweet summer sweat.
Some dance to remember, some dance to forget
So I called up the Captain,
« Please bring me my wine »
He said, « We haven’t had that spirit here since nineteen sixty nine »
And still those voices are calling from far away,
Wake you up in the middle of the night
Just to hear them say…
Welcome to the Hotel California
Such a lovely place (Such a lovely place)
Such a lovely face
They livin’ it up at the Hotel California
What a nice surprise (what a nice surprise)
Bring your alibis
Mirrors on the ceiling,
The pink champagne on ice
And she said « We are all just prisoners here, of our own device »
And in the master’s chambers,
They gathered for the feast
They stab it with their steely knives,
But they just can’t kill the beast
Last thing I remember, I was
Running for the door
I had to find the passage back
To the place I was before
« Relax,  » said the night man,
« We are programmed to receive.
You can check-out any time you like,
But you can never leave! « 
Sorry
Is all that you can’t say
Years gone by and still
Words don’t come easily
Like sorry, like sorry
Forgive me
Is all that you can’t say
Years gone by and still
Words don’t come easily
Like forgive me, forgive me
But you can say baby
Baby, can I hold you tonight?
Maybe if I told you the right words
Ooh, at the right time you’d be mine
I love you
Is all that you can’t say
Years gone by and still
Words don’t come easily
Like I love you, I love you
But you can say baby
Baby, can I hold you tonight?
Maybe if I told you the right words
Ooh, at the right time you’d be mine
Baby, can I hold you tonight?
Maybe if I told you the right words
Ooh, at the right time you’d be mine
You’d be mine
You’d be mine
Don’t you know
They’re talkin’ bout a revolution
It sounds like a whisper
Don’t you know
They’re talkin’ about a revolution
It sounds like a whisper
While they’re standing in the welfare lines
Crying at the doorsteps of those armies of salvation
Wasting time in the unemployment lines
Sitting around waiting for a promotion
Poor people gonna rise up
And get their share
Poor people gonna rise up
And take what’s theirs
Don’t you know
You better run, run, run
Oh I said you better
Run, run, run
Finally the tables are starting to turn
Talkin’ ’bout a revolution
See the stone set in your eyes
See the thorn twist in your side
I’ll wait for you
Sleight of hand and twist of fate
On a bed of nails, she makes me wait
And I wait without you
With or without you
With or without you
Through the storm, we reach the shore
You give it all but I want more
And I’m waiting for you
With or without you
With or without you, ah, ah
I can’t live
With or without you
And you give yourself away
And you give yourself away
And you give
And you give
And you give yourself away
My hands are tied
My body bruised, she got me with
Nothing to win and
Nothing left to lose
And you give yourself away
And you give yourself away
And you give
And you give
And you give yourself away
With or without you
With or without you, oh
I can’t live
With or without you
Oh, oh
Oh, oh
With or without you
With or without you, oh
I can’t live
With or without you
With or without you
Tu m’as dit que j’étais faite
Pour une drôle de vie
J’ai des idées dans la tête
Et je fais ce que j’ai envie
Je t’emmène faire le tour
De ma drôle de vie
Je te verrai tous les jours
Et si je te pose des questions (qu’est-ce que tu diras?)
Et si je te réponds (qu’est-ce que tu diras?)
Si on parle d’amour (qu’est-ce que tu diras?)
Si je sais que tu m’aimes
La vie que tu aimes au fond de moi
Me donne tous ses emblèmes
Me touche quand même du bout de ses doigts
Même si tu as des problèmes
Tu sais que je t’aime, ça t’aidera
Laisse les autres totems
Tes drôles de poèmes et viens avec moi
On est parti tous les deux
Pour une drôle de vie
On est toujours amoureux
Et on fait ce qu’on a envie
Tu as sûrement fait le tour
De ma drôle de vie
Je te demanderai toujours
Et si je te pose des questions (qu’est-ce que tu diras?)
Et si je te réponds (qu’est-ce que tu diras?)
Si on parle d’amour (qu’est-ce que tu diras?)
Et si je sais que tu m’aimes
La vie que tu aimes au fond de moi
Me donne tous ses emblèmes
Me touche quand même du bout de ses doigts
Même si tu as des problèmes
Tu sais que je t’aime, ça t’aidera
Laisse les autres totems
Tes drôles de poèmes et viens avec moi
Même si je sais que tu m’aimes
La vie que tu aimes au fond de moi
Me donne tous ses emblèmes
Me touche quand même du bout de ses doigts
Même si tu as des problèmes
Tu sais que je t’aime, ça t’aidera
Laisse les autres totems
Tes drôles de poèmes et viens avec moi
Un rayon de soleil
Dort sur tes cheveux longs
Sur nos corps de seigle
Et nous joue du violon
Un rayon de soleil
Sur le sommeil de plomb
Une guitare sèche
Lou Reed à la maison
Eh babe, take a walk on the wild side
Un matin suspendu
Une fleur de ton jardin
Ma main sur ton petit cul
Cherche le chemin
Un matin suspendu
Une fleur de ton jardin
Ma main sur ton petit cul
Un rayon de soleil
J’embrasse tes pieds sales
Un disque de Marley
Joue « No woman, no cry »
No woman, no woman, no woman, no cry
Un matin suspendu
Une fleur de ton jardin
Ma main sur ton petit cul
Cherche le chemin
Un matin suspendu
Une fleur de ton jardin
Ma main sur ton petit cul
Qui cherche le chemin
Qui cherche le chemin, qui cherche le chemin (la, la, la, la, la)
Qui cherche le chemin, qui cherche le chemin (la, la, la, la, la, la)
Qui cherche le chemin, qui cherche le chemin (la, la, la, la, la)
Qui cherche le chemin
Par la fenêtre ouverte
L’air que nous respirons
Ses petites poussières
Si pâles d’émotion
Un rayon de soleil
Sur ton si beau visage
Aux abeilles se mêle
La voix de Bob Dylan
Knock, knock, knockin’ on Heaven’s door
Un matin suspendu
Une fleur de ton jardin
Ma main sur ton petit cul
Cherche le chemin
Un matin suspendu
Une fleur de ton jardin
Ma main sur ton petit cul
Un rayon de soleil
Tu te rhabilles pour de bon
Je te ramène par les tresses
À mon corps de garçon
Yeah, yeah, yeah, yeah
Un matin suspendu
Une fleur de ton jardin
Ma main sur ton petit cul
Cherche le chemin
Un matin suspendu
Une fleur de ton jardin
Ma main sur ton petit cul

Les Duos...

Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bateaux sur la Seine
Va pour tes forêts, tes loups, tes gratte-ciel
Va pour les torrents, tes neiges éternelles
J’habite où tes yeux brillent où ton sang coule
Où des bras me serrent
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras
Qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
Je veux des cocotiers des plages
Et des palmiers sous le vent
Le feu du soleil au visage
Et le bleu des océans
Je veux des chameaux des mirages
Et des déserts envoûtants
Des caravanes et des voyages comme sur les dépliants
Va pour tes cocotiers, tes rivages
Va pour tes lagons tout bleu balançant
J’habite où l’amour est un village
Là où l’on m’attend
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras
Qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
Prends tes clic et tes clac et tes rêves et ta vie
Tes mots, tes tabernacles et ta langue d’ici
L’escampette et la poudre et la fille de l’air
Montre-moi tes édens, montre-moi tes enfers
Tes nord et puis tes sud et tes est et tes ouest
Alright, prends tes clic et tes clac et tes rêves et ta vie
Tes mots, tes tabernacles et ta langue d’ici
L’escampette et la poudre et la fille de l’air
Montre-moi tes édens, montre-moi tes enfers
Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bateaux sur la Seine
Qu’importe j’irai où bon te semble
J’aime tes envies, j’aime ta lumière (ta lumière)
Tous les paysages te ressemblent
Quand tu les éclaires (quand tu les éclaires)
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
J’irai où tu iras
Qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
Qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
J’irai où tu iras, mon pays sera toi
Qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
Mon pays sera toi, j’irai où tu iras
Qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
Mon pays sera toi, j’irai où tu iras
Qu’importe la place
Qu’importe l’endroit
Et si tu crois que j’ai eu peur
C’est faux
Je donne des vacances à mon coeur
Un peu de repos
Et si tu crois que j’ai eu tort
Attends
Respire un peu le souffle d’or
Qui me pousse en avant
Et…
Céline & Garou:
Fais comme si j’avais pris la mer
J’ai sorti la grande voile
Et j’ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J’ai trouvé mon étoile
Je l’ai suivie un instant
Sous le vent
Et si tu crois que c’est fini
Jamais
C’est juste une pause, un répit
Après les dangers
Et si tu crois que je t’oublie
Écoute
Ouvre ton corps aux vents de la nuit
Ferme les yeux
Et…
Céline & Garou:
Fais comme si j’avais pris la mer
J’ai sorti la grand’voile
Et j’ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J’ai trouvé mon étoile
Je l’ai suivie un instant
Sous le vent
Et si tu crois que c’est fini
Jamais
C’est juste une pause, un répit
Après les dangers
Céline & Garou:
Fais comme si j’avais pris la mer
J’ai sorti la grand’voile
Et j’ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J’ai trouvé mon étoile
Je l’ai suivie un instant
Sous le vent.
Fais comme si j’avais pris la mer
J’ai sorti la grand’voile
Et j’ai glissé sous le vent
Fais comme si je quittais la terre
J’ai trouvé mon étoile
Je l’ai suivie un instant, sous le vent.
Sous le vent… sous le vent…
Now I’ve had the time of my life
No, I never felt like this before
Yes I swear, it’s the truth
And I owe it all to you
‘Cause I’ve had the time of my life
And I owe it all to you
I’ve been waiting for so long
Now I’ve finally found someone
To stand by me
We saw the writing on the wall
As we felt this magical fantasy
Now with passion in our eyes
There’s no way we could disguise it secretly
So we take each other’s hand
‘Cause we seem to understand
The urgency
Just remember
You’re the one thing
I can’t get enough of
So I’ll tell you something
This could be love because
I’ve had the time of my life
No, I never felt this way before
Yes, I swear, it’s the truth
And I owe it all to you
Hey, baby
With my body and soul
I want you more than you’ll ever know
So we’ll just let it go
Don’t be afraid to lose control, no
Yes, I know what’s on your mind
When you say, « Stay with me tonight » (stay with me)
Just remember
You’re the one thing
I can’t get enough of
So I’ll tell you something
This could be love because
I’ve had the time of my life
No, I never felt this way before
Yes, I swear, it’s the truth
And I owe it all to you
‘Cause I’ve had the time of my life
And I’ve searched though every open door
‘Til I found the truth
And I owe it all to you
Now I’ve had the time of my life
No, I never felt this way before
Yes, I swear, it’s the truth
And I owe it all to you
I’ve had the time of my life
No, I never felt this way before
Yes, I swear, it’s the truth
And I owe it all to you
‘Cause I’ve had the time of my life (the time of my life)
And I’ve searched though every open door
‘Til I found the truth
And I owe it all to you
I got chills, they’re multiplying
And I’m losing control
‘Cause the power you’re supplying
It’s electrifying
You better shape up
‘Cause I need a man
And my heart is set on you
You better shape up
You better understand
To my heart I must be true
Nothin’ left, nothin’ left for me to do
You’re the one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh, honey
The one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh, honey
The one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh
The one I need (the one I need)
Oh, yes indeed (yes, indeed)
If you’re filled with affection
You’re too shy to convey
Meditate in my direction
Feel your way
I better shape up
‘Cause you need a man
I need a man
Who can keep me satisfied
I better shape up
If I’m gonna prove
You better prove
That my faith is justified
Are you sure?
Yes, I’m sure down deep inside
You’re the one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh, honey
The one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh, honey
The one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh
The one I need (the one I need)
Oh, yes indeed (yes, indeed)
You’re the one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh, honey
The one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh, honey
The one that I want (you are the one I want)
Ooh ooh, ooh
The one I need (the one I need)
Oh, yes indeed (yes, indeed) ooh, ooh
You’re the one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh, honey
The one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh, honey
The one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh
The one I need (the one I need)
Oh, yes indeed (yes, indeed)
You’re the one that I want (you are the one I want)
Ooh, ooh, ooh, honey
The one that I want
Regarde-toi assise dans l’ombre
À la lueur de nos mensonges
Les mains glacées jusqu’à l’ongle
Regarde-toi à l’autre pôle
Fermer les yeux sur ce qui nous ronge
On a changé à la longue
On a parcouru le chemin
On a tenu la distance
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t’adore
On a parcouru le chemin
On a souffert en silence
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t’adore encore
Je vis dans une maison de verre
À moitié remplie de ton eau
Sans s’arrêter, le niveau monte
Je suis le fantôme qui s’égare
Je suis l’étranger à ton cœur
Seulement regarde comme on est seul
On a parcouru le chemin
On a tenu la distance
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t’adore
On a parcouru le chemin
On a souffert en silence
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t’adore encore
We’ve come such a long way
Encore
On a parcouru le chemin
On a tenu la distance
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t’adore
On a parcouru le chemin
On a souffert en silence
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t’adore
On a parcouru le chemin
On a tenu la distance
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t’adore
On a parcouru le chemin
On a souffert en silence
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t’adore encore
Encore, encore
Tell me somethin’, girl
Are you happy in this modern world?
Or do you need more?
Is there somethin’ else you’re searchin’ for?
I’m fallin’
In all the good times I find myself longin’ for change
And in the bad times, I fear myself
Tell me something, boy
Aren’t you tired tryin’ to fill that void?
Or do you need more?
Ain’t it hard keepin’ it so hardcore?
I’m falling
In all the good times I find myself longing for change
And in the bad times, I fear myself
I’m off the deep end, watch as I dive in
I’ll never meet the ground
Crash through the surface, where they can’t hurt us
We’re far from the shallow now
In the sha-ha-sha-ha-llow
In the sha-ha-sha-la-la-la-llow
In the sha-ha-sha-ha-llow
We’re far from the shallow now
Oh, ha-ah-ah
Ah, ha-ah-ah, oh, ah
Ha-ah-ah-ah
I’m off the deep end, watch as I dive in
I’ll never meet the ground
Crash through the surface, where they can’t hurt us
We’re far from the shallow now
In the sha-ha-sha-ha-llow
In the sha-ha-sha-la-la-la-llow
In the sha-ha-sha-ha-llow
We’re far from the shallow now
Il y a ceux qui prendraient un avion
D’autres qui s’enfermeraient chez eux, les yeux fermés
Toi, qu’est-ce que tu ferais ? Toi, qu’est-ce que tu ferais ?
[Natasha]
Il y en a qui voudrait revoir la mer
D’autres qui voudraient encore faire l’amour, une dernière fois
Toi, tu ferais quoi ? Et toi, toi tu ferais quoi ?
Si on devait mourir demain
Qu’est-ce qu’on ferait de plus ? Qu’est-ce qu’on ferait de moins ?
Si on devait mourir demain
[Pascal]
Moi, je t’aimerais
[Natasha]
Moi, je t’aimerais
[Pascal]
Je t’aimerais
Il y en a qui referaient leur passé
Certains qui voudraient boire et faire la fête jusqu’au matin
D’autres qui prieraient… D’autres qui prieraient…
[Natasha]
Ceux qui s’en fichent et se donneraient du plaisir
Et d’autres qui voudraient encore partir avant la fin
Toi, qu’est-ce que tu ferais ? Et toi, qu’est-ce que tu ferais ?
Si on devait mourir demain
Qu’est-ce qu’on ferait de plus ? Qu’est-ce qu’on ferait de moins ?
Si on devait mourir demain
[Pascal]
Moi, je t’aimerais
[Natasha]
Moi, je t’aimerais
[Natasha & Pascal]
Moi, je t’aimerais… Je t’aimerais
Et toi, dis-moi, est-ce que tu m’aimeras ?
Jusqu’à demain et tous les jours d’après
Que rien, non rien, ne s’arrêtera jamais
Si on devait mourir demain
[Pascal]
Moi, je t’aimerais
[Natasha]
Moi, je t’aimerais
Est-ce qu’on ferait du mal, du bien
Si on avait jusqu’à demain pour vivre tout ce qu’on a rêvé
Si on devait mourir demain
[Pascal]
Moi, je t’aimerais
[Natasha]
Moi, je t’aimerais
[Pascal]
Moi, je t’aimerais
[Natasha]
Je t’aimerais.
Regarde
Le jour se lève
Dans la tendresse
Sur la ville
Tu me fais vivre
Comme dans un rêve
Tout ce que j’aime
Besoin de rien, envie de toi
Comme jamais envie de personne
Tu vois le jour
C’est à l’amour qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi
Comme le rouge aime l’automne
Tu sais l’amour
C’est à Vérone qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi, envie de toi
J’aime
Quand tu m’enlaces
Quand tu m’embrasses
Oh je suis si bien
Premier
Matin caresse
Matin tendresse
Tu es si belle
Oh, le jour se lève
Nous on s’aime
Besoin de rien, envie de toi
Comme jamais envie de personne
Tu vois le jour
C’est à l’amour qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi
Comme le rouge aime l’automne
Tu sais l’amour
C’est à Vérone qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi, envie de toi
Besoin de rien, envie de toi
Comme jamais envie de personne
Tu vois le jour
C’est à l’amour qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi
Comme le rouge aime l’automne
Tu sais l’amour
C’est à Vérone qu’il ressemble
Besoin de rien, envie de toi, envie de toi
Besoin de rien, envie de toi
Besoin de rien, envie de toi
Che confusione
Sarà perché ti amo
È un’emozione
Che cresce piano piano
Stringimi forte
E stammi più vicino
Se ci sto bene
Sarà perché ti amo
Io canto al ritmo
Del dolce tuo respiro
È primavera
Sarà perché ti amo
Cade una stella
Ma dimmi dove siamo
Che te ne frega
Sarà perché ti amo
E vola vola si sa
Sempre più in alto si va
E vola vola con me
Il mondo è matto perché
E se l’amore non c’è
Basta una sola canzone
Per far confusione
Fuori e dentro di te
E vola vola si va
Sempre più in alto si va
E vola vola con me
Il mondo è matto perché
E se l’amore non c’è
Basta una sola canzone
Per far confusione
Fuori e dentro di te
Ma dopo tutto
Cosa c’è di strano
È una canzone
Sarà perché ti amo
Se cade il mondo
Allora ci spostiamo
Se cade il mondo
Sarà perché ti amo
Stringimi forte
E stammi più vicino
È così bello
Che non mi sembra vero
Se il mondo è matto
Che cosa c’è di strano
Matto per matto
Almeno noi ci amiamo
E vola vola si sa
Sempre più in alto si va
E vola vola con me
Il mondo è matto perché
E se l’amore non c’è
Basta una sola canzone
Per far confusione
Fuori e dentro di te
E vola vola si va
Sarà perché ti amo
E vola vola con me
E stammi più vicino
E se l’amore non c’è
Ma dimmi dove siamo
Che confusione
Sarà perché ti amo